Le but de Rodri décide d’une finale âprement disputée dans laquelle Inzaghi méritait au moins la prolongation face au favori Guardiola, bon pour affronter l’Inter sans prétention. Pour le football italien, c’est la troisième défaite en trois finales mais tout n’est pas à jeter. Le commentaire du directeur de la Gazzetta Stefano Barigelli, en studio avec Antonino Morici



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