Non.ou ça veut dire Non. Au lieu de cela, la question de la « Consentement » sexuelsi cela semble très simple, ce n’est évidemment pas du tout, si presque partout dans le monde c’est de plus en plus al centre débat public. L’importance et la pertinence du sujet sont telles qu’en Australie, éducation au consentement est déjà est devenu une matière scolaire. Et en Italie ?
L’éducation par consensus, qu’est-ce que c’est et pourquoi elle deviendra une matière dans les écoles
De l’affaire Bill Cosby, accusé de viol et de harcèlement par trente-cinq femmes, sur les campus universitaires (où en moyenne une étudiante sur cinq est victime de viol), tout tourne autour du terme consentement.
D’où l’importance de définir la notion de « consentement sexuel » : il faut rendre la limite encore plus claire, en commençant par les enfants et les jeunes. TTout ce qui n’est pas un OUI franc est de la violence. Et peut-être vaut-il mieux l’enseigner déjà dans les écoles.
Éradiquer, dès l’école, certains stéréotypes qui rendent plus difficile la prise de conscience de ce que l’on fait.
L’éducation par consensus est déjà une matière scolaire en Australie et en Suède
De nombreux pays le font, comme‘Australie qui vient d’annoncer qu’à partir de février 2023, l’éducation par consensus deviendra une matière obligatoire.
Et beaucoup l’ont déjà fait, il y a même longtemps. Comme, comment La Suède, pays où cette matière est devenue obligatoire à l’école publique en 195615 ans d’avance sur l’Allemagne et environ 30 ans d’avance sur la plupart des autres pays du monde.
Italie un pas, ou plutôt deux, en arrière
L’Italie est absolument en retard, elle n’a pas du tout pris la Suède en exemple. En effet, dans nos écoles l’heure de l’éducation sexuellequi se borne d’ailleurs à expliquer comment naissent les enfants, il n’existe pas toujours car il n’est pas obligatoire.
Un écart considérable si même leAgence des Nations Unies pour la santé sexuelle et reproductive l’a même inclus dans le catégorie des droits de l’hommeen élaborant des consignes à respecter, qui incluent, outre les notions d’anatomie et de physiologie, éducation à l’affectivité, aux relations Et aux différences de genre.
Sans consentement, c’est un viol : dans certains pays, c’est
Il n’y a que 12 législations en Europe que ils considèrent la violence sexuelle comme une relation sans consentement explicite. Il s’agit notamment du Danemark, de l’Irlande, de l’Allemagne, de la Grande-Bretagne, de la Grèce et de la Belgique.
Seuls 12 s’expriment en ces termes clairs, malgré l’engagement pris par les Etats avec le soi-disant Convention d’Istanbul, adopté par le Conseil de l’Europe et ratifié par l’Italie en 2013.
Dans l’article 36 du traité, en effet, il prescrit de réprimer et adéquatement rapports sexuels ou actes accomplis sur une personne non consentanteprécisant que le le consentement doit être donné volontairementcomme manifestation libre de la volonté de la personne et évaluée en tenant compte de la situation et du contexte.
En Italie, Amnesty demande la loi
En Italie, Amnesty International lancé la campagne « Je demande » pour que ce soit législation modifiée sur le violselon ce qu’établit la Convention d’Istanbul, qui précise que le viol est « un rapport sexuel sans consentement ».
L’organisation demandeen fait, au ministre de la justice la révision de l’article 609-bis du code pénalconformément aux engagements pris en 2013, « afin que tout acte sexuel non consenti soit punissable« .
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