Pendant ce temps, Handa et Perisic sont en attente. Skriniar doit être blindé

Changement de stratégie de l’Inter sur le capitaine et sur l’ailier. Le slovaque est la priorité : nous avons besoin d’une offre importante

Contacts, appels téléphoniques, face à face. L’Inter continue de planifier son avenir, mais sans soucis et à ses conditions. Et c’est pourquoi pour les renouvellements de Samir Handanovic et Ivan Perisic, ils sont de retour en attente. C’est le jeu de la fête, ça a été comme ça toute une vie. Il y a la volonté d’avancer ensemble, mais il y a aussi des intérêts personnels et de club à protéger. Alors allez-y doucement, sans hâte. Car aujourd’hui, c’est le moment de penser au terrain, au championnat pour tenter de gagner, et une fois la saison terminée, l’esprit plus serein et peut-être le ventre plus plein. Handanovic et Perisic ont leurs contrats expirant en juin et techniquement, ils auraient pu signer pour un autre club dès janvier. Mais ici la question est différente : il y a un statut établi dans le club à maintenir et aussi à respecter. Alors, avant de prendre une décision finale, mieux vaut analyser le pour et le contre.

Ivan et Samir

L’Inter, en attendant, a déjà pris ses précautions. Robin Gosens est arrivé en janvier justement pour être l’après Perisic : il a été l’un des ailiers les plus importants des derniers championnats avec l’Atalanta, sa force explosive et ses buts ont fait entrer la Déesse dans une nouvelle dimension européenne. En bref, il n’y avait pas de meilleur endroit pour remplacer Ivan et le mouvement de l’Inter semblait clair dès le début : si c’est au revoir avec Perisic, alors ils tomberont sur leurs pieds. A l’inverse, si en fin de saison Ivan et l’Inter trouvent un accord sur la biennale (il y a un écart de plus d’un million entre l’offre et la demande), alors Inzaghi pourra compter sur un couple d’outsiders pour rivaliser avec les cadors. en Europe. . La situation de Handanovic est différente. L’Inter a bloqué Onana, libéré de l’Ajax : il avait déjà passé des examens médicaux à Milan en janvier, mais son achat n’a pas encore été officialisé. Peut-être pour laisser tranquille Samir, qui entre-temps réfléchit à son avenir : Handa n’a jamais partagé la porte avec personne et l’histoire dit qu’il n’aime pas laisser même les matches de Coppa Italia à ses collègues. Avec Onana, il aurait un rôle de poule, avec un salaire divisé par deux. Mais il aimerait tout de même avoir la possibilité d’être un protagoniste, conscient toutefois de devoir renoncer à quelque chose sur le plan économique. On a besoin d’un nouveau rendez-vous, mais tout est reporté à la fin de la saison.

Urgence

Il n’y a qu’une seule urgence à l’agenda de l’Inter, et celle de Milan Skriniar. Le défenseur slovaque, qui doit expirer en 2023, se révèle irremplaçable, au même titre que Barella et Brozovic. Et c’est pourquoi l’Inter vise désormais à le sécuriser, également pour éviter les offres qui tombent en dessous de sa valeur réelle cet été. Skriniar a des admirateurs à l’étranger et contre Liverpool, il a montré qu’il était désormais parmi les meilleurs dans ce rôle. L’arrivée de Conte à Tottenham fait peur à Marotta et Ausilio, prêts à revenir à la table des négociations avec le Slovaque. Mais un effort économique considérable est nécessaire pour convaincre Skriniar de remarier les Nerazzurri, au moins jusqu’en 2027 : avec une proposition à la Barella (4,5 millions par saison plus bonus), il serait plus facile de trouver un accord rapidement. Skriniar sait qu’il vaut beaucoup et l’Inter ne peut pas se permettre le luxe de le perdre : d’ici Pâques pourrait avoir lieu la première rencontre pour poser les bases du nouvel accord, indispensable pour avancer ensemble. La volonté commune est un excellent point de départ.



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