Pauw est sur le toit depuis un mois : « Elle crie pour réveiller tout le monde à cinq heures »


Depuis quatre semaines, un paon est sur le toit de Niek et Jacqueline Coolen de Bakel. L’ami à plumes monte et descend continuellement. La capture n’est pas possible, malgré un piège à paon construit soi-même. « Elle réveille tout le monde à cinq heures du matin », s’amuse Niek, dont le paon est l’hôte depuis des semaines.

Les ours polaires, c’est l’activité principale du paon. Le visiteur inattendu est soudainement apparu sur le toit de la famille à Bakel. « Après quatre jours, nous avons commencé à la nourrir, car l’animal doit vivre. » Et apparemment, elle passe un bon moment, car elle a du mal à y échapper.

« C’est très amusant. Nous sommes de très bons amis. Nous avons quelque chose à voir », rayonne Jacqueline. Reste à savoir si les voisins sont aussi heureux. « Le concert commence à cinq heures du matin. Cela pourrait facilement durer une demi-heure », s’amuse Niek, qui n’y voit aucun problème.

Ambulance animalière, municipalité, réseaux sociaux et experts en paons du quartier : le couple a fait appel à tous les experts. Mais personne ne pouvait les aider. L’animal n’appartenait également à personne du quartier. « Nous avons maintenant quelqu’un qui la veut. L’attraper seul n’est pas si simple. »

« Nous ne sommes pas des attrapeurs de paons professionnels. »

« Il va encore s’envoler », pensa le couple. Après quatre semaines, l’invité semble être un gardien. Morceaux, laitue : tout est essayé. Niek a construit un véritable piège. « Écoutez, je vais tirer sur cette ficelle », montre-t-il. Un tissu blanc tombe. «Je l’ai vu sur YouTube et je l’ai recréé», rit-il, si fier d’un paon. « Nous ne sommes pas des attrapeurs de paons professionnels. »

Le piège à paon auto-construit (photo : Omroep Brabant).
Le piège à paon auto-construit (photo : Omroep Brabant).

L’oiseau frappant marche toujours sur le toit devant la fenêtre de la cuisine. « Cette réflexion lui fait penser qu’elle a beaucoup d’amis », explique Niek. L’oiseau est donc constamment visible depuis le salon et la cuisine. La marche rythmée de l’oiseau sur le toit plat est à la fois apaisante et angoissante.

Les deux ne se plaignent pas. Jacqueline : « Nous l’aimons beaucoup depuis un moment. Bientôt, il fera trop chaud pour l’animal ici sur le toit. » Niek ajoute : « Elle chie partout sur le toit. Quand elle part, il faut tout nettoyer. » Pourtant, les deux hommes sont très attachés à « leur » remarquable résident du toit. « Elle va nous manquer quand elle sera partie. »

Le paon aime regarder par la fenêtre (photo : Raymond Merkx).
Le paon aime regarder par la fenêtre (photo : Raymond Merkx).



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