L’enquête menée auprès de 5 300 membres du COC montre que 78 % des répondants ne sont pas convaincus. Cela s’applique à l’enseignement primaire et secondaire, ainsi qu’aux Centres d’orientation des élèves (CLB), à l’enseignement artistique à temps partiel, à l’éducation des adultes et à l’enseignement supérieur. Dans le scénario actuel, les deux semaines perdues en été ont été compensées ailleurs dans l’année.

« Le résultat est clair : il n’y a pas de soutien pour des vacances d’été raccourcies », déclare le secrétaire général du COC, Koen Van Kerkhoven. L’enquête est intervenue après que le ministre flamand de l’Education Ben Weyts (N-VA) a demandé aux organisations faîtières, aux syndicats et aux organisations faîtières de parents de prendre position d’ici la fin de l’année scolaire.

Les enseignants craignent qu’un aménagement différent ne leur laisse pas suffisamment de repos et que la charge de travail augmente. C’est aussi une question délicate pour les réalisateurs. Ils disent qu’ils doivent déjà consacrer une grande partie de ces vacances au travail. De plus, le syndicat craint qu’un congé d’été écourté ne réduise l’attractivité de la profession.



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