Pas de finale sur le terrain, il ne reste plus qu’à la Juve à la FIGC : le procès des plus-values ​​lundi

Le retour devant la Cour d’appel fédérale pour la reformulation de la sanction, décidée par le Coni Guarantee College, décidera de la qualification ou non pour les prochaines coupes d’Europe. Avec des conséquences aussi sur la deuxième ligne et sur l’enquête de l’UEFA

La saison de la Juventus dure encore 16 journées, celles-ci restant jusqu’à la dernière journée du championnat face à l’Udinese. Après avoir épuisé la chasse au trophée à mettre en vitrine cette saison les mains vides, l’accent est mis sur la qualification européenne pour l’année prochaine. Mais ça ne se joue pas que sur le terrain.

ZÉRO TITRES… ET FINALES

Pas de finale de Coupe d’Italie pour la Dame, éliminée par l’Inter. Pas de finale de Ligue Europa, éliminé hier par Séville, toujours en demi-finale. Sans compter qu’en Ligue des champions, la Juve n’a même pas atteint le stade des éliminations, et le championnat était pratiquement déjà terminé en octobre avant même les perquisitions, l’enquête, le tremblement de terre au sommet et le penalty. Pourtant, une finale reste à jouer cette saison. Et c’est hors champ : lundi devant la Cour d’appel fédérale, pour un nouveau jugement sur les plus-values ​​après l’annulation du -15 décidé par le Collège de garantie.

L’AFFLICTIVITÉ

Le spectre de l’affliction continue de planer autour de la Dame, c’est-à-dire que la conscience que la sanction sera modulée pour avoir des effets, ne peut être indolore. Traduit : déjà sorti du combat pour le Scudetto, cela peut signifier un impact sur la qualification pour la prochaine Ligue des champions ou plus généralement pour les prochaines coupes d’Europe. Mais, fait valoir la Juventus, déjà une « relégation » de la deuxième à la quatrième place, qui permettrait en tout cas de garder l’Europe plus noble, causerait des dégâts. Bon marché, environ 10 millions : entre les primes de marché de la Lega et de l’UEFA, la deuxième place atteint 26,9 millions, qui chute à 16,7 pour la quatrième place.

LA PENALITÉ

Le passage au troisième degré du jugement sportif avait nécessité, avec renvoi à la sphère fédérale, de réévaluer la responsabilité des non-top managers du club, dont la conviction sportive est pour l’instant annulée, avec une éventuelle redéfinition en cascade également de le nombre de points de pénalité pour l’entreprise. Les chances de qualification pour les prochaines coupes d’Europe dépendent de cette décision, comprenant non seulement ce verdict mais aussi les conséquences en cascade sur la deuxième ligne encore à juger, celle sur les manœuvres salariales, les partenariats et les agents, dont les saisines sont arrivées aujourd’hui même. .

Et PUIS il y a l’UEFA

Non seulement la Conférence, mais aussi la Ligue Europa n’est même pas comparable à la Ligue des Champions en termes d’impact économique sur la Juventus compte pour la seule participation. Mais la perte pour les caisses de la saison prochaine est désormais prise en compte : l’objectif réaliste est de limiter les dégâts. Et avoir une qualification pour une coupe d’Europe la saison prochaine ça donnerait au moins quelque chose à « sacrifier » pour commencer immédiatement à purger d’éventuelles sanctions qui pourraient aussi venir de l’UEFA. Qui avait déclaré avoir ouvert une enquête indépendante sur la Juve, mais qu’en fait il attend toujours de voir jusqu’où ira la justice sportive italienne.



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