« Ce sont des gens qui ne parlent pas la langue ou qui ne prêtent que peu d’attention à leur bonne santé », explique la ministre flamande des Affaires sociales, Hilde Crevits.
« Les personnes très vulnérables et vivant dans la pauvreté vont rarement chez le médecin. Et c’est problématique. Nous constatons que ceux qui y participent ont beaucoup plus de chances de recevoir un diagnostic de cancer à un stade très précoce. Si vous participez, c’est souvent beaucoup plus tard que le cancer est découvert, et les chances de traitement et de survie sont alors beaucoup plus faibles.