Parle Drents avec moi avec Nico Vanderveen

Le Huus van de Taol a réalisé une troisième saison du podcast en langue drenthe Praot Drents Met Mij en collaboration avec RTV Drenthe.

Dans ce podcast, la directrice du Huus van de Taol Renate Snoeijing s’entretient avec le célèbre Drenthe sur le rôle que la langue drenthe joue dans leur vie. Dans cet épisode, Nico Vanderveen est invité, il est le directeur de Warenhuis Vanderveen à Assen.

Vanderveen a grandi à Assen. Il y vécut jusqu’au dixième siècle. Daornao la famille (papa, maman, voir breurtie et deux soeurs) les détestait Rhee. Il était l’aîné des enfants. Et les enfants étaient toujours avec les gangs d’animaux. « Je veux devenir vétérinaire quand j’étais enfant, ça m’a semblé être la fin. »

À la fin de la quatrième année, il y avait un élevage de guerre en RDA. Puis il avait seize ans et ça fait une grosse impression sur hum. Iniene se rend compte que le monde était beaucoup plus grand qu’Assen et ses environs. Il décide de devenir macro-économiste et vétérinaire.

« Ma macro de la mer du cœur, mais ma micro de la mer de la tête. » Et donc Vanderveen n’a pas pris une mais deux études en économie, pour lesquelles il a obtenu son diplôme cum laude.

« Enfant, j’ai toujours pensé: eh bien, le temps que je sois adulte et que j’aie fini mes études, il y aura probablement un de mes cousins ​​​​qui siègera au conseil d’administration. » Vanderveen est également intéressé à faire d’autres choses et à explorer le monde en premier. « A un certain moment, les enfants sont arrivés. Ien, deux, trois, plume. Et cela a rendu les choses un peu plus difficiles pour ma femme. » Ne blâmez pas Nico, il s’éclate.

Salut tous ces virus à terre en Afrique, dites-le vous-même. Mais alors voyant va hum appelé, parce qu’il était haut dans la couverture des marchandises, Nico a décidé qu’il était temps de retourner à Assen. Et maintenant, il s’amuse beaucoup dans l’entreprise familiale.

Nico Vanderveen a quatre filles, quatre belles-sœurs et quatre petits-enfants, mais il n’habite pas au coin de la rue. Pourtant, je reste en contact avec eux. « Pour nous, le Picardthoeve était le centre du monde. Nous avions tout l’espace pour découvrir des choses là-bas. »

Écoutez ci-dessous toute l’histoire de Nico Vanderveen dans le podcast Praot Drents Met Mij :



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