Paltrinieri est né pour nager et ne veut pas s’arrêter. « Futur ? J’aimerais continuer »


Interviewé sur la scène du Festival du Sport par Gianni Valenti, le champion italien a parlé de ses succès en piscine et de son amour pour le sport

Journaliste

10 octobre – 22h22 – TRENT

File d’attente de vingt minutes pour entrer au Teatro Sociale de Trente à 21h. Ces données suffiraient pour comprendre quel niveau a atteint la popularité de Gregorio Paltrinieri. À 30 ans, Greg a déjà quatre Jeux olympiques à son actif et un palmarès rempli de médailles. Une médaille d’or, deux d’argent et deux de bronze aux Jeux Olympiques.

succès dans la piscine

Il a remporté la médaille d’or aux Jeux Olympiques de Rio 2016 au 1500 m nage libre, se rapprochant du record du monde avec 14’34″57, un temps proche de son temps personnel, remportant la médaille d’argent au 800 mètres en piscine et la médaille de bronze. au 10 km en eau libre aux Jeux Olympiques de Tokyo 2020. Troisième athlète de l’histoire à remporter une médaille, dans la même édition des Jeux, tant en piscine qu’en eau libre. bronze aux Jeux Olympiques de Paris 2024 au 800 mètres nage libre et dans la même édition l’argent au 1500 mètres nage libre, devenant ainsi le premier nageur italien en termes de nombre de médailles olympiques remportées ainsi que le seul capable de remporter trois médailles olympiques consécutives.

entre entreprises et anecdotes

Greg interviewé sur la scène du Festival des Sports commence par le souvenir des Jeux Olympiques : « Les Jeux Olympiques sont quelque chose de totalement différent de tout le reste. Vous êtes avec les plus grands athlètes de cette période. Je me souviens de l’émotion de voir Bolt à quelques mètres de moi. Chaque Jeux olympiques est différent des précédents, chaque fois est la première. Puis l’entretien se développe autour de citations de livres. Visiblement lié aux exploits de Greg. Détendu et amusé, il parle de sa coiffure de la Coupe du monde 2011, puis revient sur son parcours. « La performance n’est pas toujours liée à la forme ». Et puis son caractère : « Je ne suis pas vindicatif, j’aborde le sport comme un défi avec moi-même et avec les autres. Et puis tu sais, tu gagnes et tu perds. » Des adversaires ? « J’en ai eu beaucoup, il y en avait et il y a des athlètes très forts. » Et puis la dernière question ne pouvait concerner que son avenir. « J’y réfléchis, j’aimerais continuer. La blessure au coude m’a donné plus de temps pour réfléchir. »





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