Orrin est régulièrement presque chassé de ses chaussettes en tant que road ripper


Un conducteur qui veut franchir rapidement une barrière et heurte presque la barrière routière Orrin. Selon lui, ce genre de situation se produit presque tous les jours : « Aujourd’hui, tout le monde est au téléphone en conduisant et les gens n’ont aucune patience du tout. »

Orrin van Poppel a commencé il y a environ 15 ans en tant que nettoyeur de routes. « Mon premier travail a été dans une fonderie de bronze. J’ai aidé à faire des sculptures d’art. Quand j’ai dû m’arrêter là, j’ai commencé comme barrière routière du jour au lendemain. » Et soudain, sans expérience, il était sur l’autoroute. « Je me souviens bien de mon premier jour de travail. On m’a permis de commencer tout de suite sur l’A27. Voilà, sans expérience. C’était assez excitant. »

« Les gens se fâchent souvent quand ils doivent attendre. »

Et Orrin ressent toujours cette tension, car il doit toujours faire attention dans son travail. « Il arrive souvent que les conducteurs ne me voient pas et que je me fasse presque percuter. Les gens se fâchent souvent quand ils doivent attendre parce que je suis occupé quelque part. Mais ils ne se rendent pas compte que je suis là pour les aider. Je fais sûr qu’un nouvel asphalte pourra être posé ou qu’un trou sera fait dans la route. Cela ne vaut-il pas le détour de cinq minutes ? »

Mais il ne s’agit pas seulement de conducteurs en colère. Orrin doit également faire face à d’autres situations intenses. « Je me souviens bien que j’étais sur l’A13 près de Rotterdam. Nous y travaillions et il y avait une nacelle élévatrice et un camion de flèches. Quelques instants plus tard, un conducteur ivre est entré en collision avec notre camion de flèches. Il a été emmené par la police et à ce moment-là vu « J’ai soudain réalisé qu’il y avait aussi un chien dans la voiture. La police ne l’avait pas vu. Vous le vivez tous. C’est parfois une belle aventure. »

« Je peux sauter la gym. »

Le travail d’Orrin est différent chaque jour. Parfois, il doit faire un détour et l’autre jour, il s’assure qu’une route peut s’ouvrir à nouveau. Et il doit souvent faire des travaux lourds et physiques. « Je soulève régulièrement une assiette de 33 kilos avec chaque main. Puis soudain tu portes 66 kilos. Donc je peux sauter la salle de sport », s’amuse Orrin. « Parfois, je suis tellement fatigué que je suis déjà au lit à sept heures du soir. »

Situations dangereuses et travail physique, pourtant c’est un travail dont Orrin est très content. « Tu as beaucoup de liberté et je n’ai jamais de murs autour de moi. Merveilleux ! Si j’étais derrière un écran au bureau, je rebondirais dans tous les sens. J’ai besoin de ce travail, car je peux être occupé. Et tu viens partout !  »

Dans la nouvelle série YouTube « Beunen met Lola », Lola teste des professions spéciales. Dans la vidéo ci-dessous, vous pouvez voir si elle réussit à être une road ripper pendant une journée :



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