Origi non reçu : 80 minutes en un mois et demi. Mais il met la Juve et Chelsea dans son viseur

Six, vingt-quatre, dix-sept, trente-trois. Ce ne sont pas les numéros à jouer au loto et ce n’est pas la séquence de numéros à taper pour sauver le monde, comme cela s’est produit dans la série Lost : ce sont plutôt les minutes que Divock Origi a passées sur le terrain contre l’Udinese, Atalanta, Inter et Salzbourg. . En Serie A, le score est de 47, en Champions 33 : le total est de 80, dans un mois et demi de saison abondant. Peu, très peu. Moins d’un match complet. « Perdu » – dans le sens de perdu entre blessures et mécontentement – jusqu’à présent, c’est lui, Origi. A tel point qu’il est retourné en Belgique pour une consultation sur ce qu’il fallait faire, convenu avec Milan en vue d’éviter les rechutes, plutôt que d’accélérer les temps de récupération.

Faux départ

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La pire journée vécue par les Rossoneri Divock jusqu’à présent a été le 10 septembre. L’ex de Liverpool de 27 ans – déjà à l’arrêt depuis longtemps en raison des séquelles d’une blessure remédiée en mai avec les Reds – avait encerclé cette date au calendrier, caressant la perspective de jouer en tant que titulaire contre la Sampdoria tous. la semaine. À Gênes, en revanche, Origi n’a même pas été vu : fatigue dans la cuisse gauche et au large, encore une fois, avec le sentiment que les problèmes musculaires se transformaient de plus en plus d’aigus à chroniques. D’où la décision de s’envoler pour la Belgique, pour tenter d’inverser la tendance.

Cibles

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Tout cela, également grâce au calvaire de Rebic, s’est traduit par un super boulot pour Olivier Giroud, contraint de faire des heures supplémentaires dans le rôle d’avant-centre. Il en sera de même à Empoli : le numéro 9 des Rossoneri sera positionné au centre de l’attaque, avec la nécessité de ne pas en faire trop : le calendrier propose alors Chelsea (le 5 octobre à Londres), la Juve (le 8 octobre au Meazza) et encore les Bleus (11 octobre à San Siro). Difficile, pour le moment, de penser qu’Origi a déjà été convoqué pour le match de Ligue des champions à Londres, même si rien n’est à exclure, car à ce stade, chaque jour peut changer la donne. Plus enclin à imaginer Divock sur le banc face à la Juve. Enfin récupéré. Et avec une grande envie de crier « me voilà, désolé pour le retard ».