Origi, des ennuis (enfin) derrière ? Pioli retrouve le vrai adjoint Giroud

Jusqu’à présent, le Belge a raté un tiers des matchs en raison de diverses blessures. Objectif : l’avoir à cent pour cent pour le premier tour de la Ligue des champions, ce que Divock connaît bien…

par notre correspondant Marco Pasotto

Un sur trois. C’est huit sur vingt-quatre. Le budget de la première partie de saison de Divock Origi est fait de larmes et de sang. Pour l’intéressé, qui jusqu’à présent dans les Rossoneri avait la consistance plus ou moins d’un hologramme. Et, en guise de rebond, pour le club, qui a beaucoup misé sur lui pour avoir une alternative de haut niveau à Giroud et s’est plutôt trouvé jusqu’à présent un joueur inscrit à 4 millions net par saison qui a marqué un but et une passe décisive en 505 minutes au total passées sur le terrain. Cela fait 14 apparitions, dont seulement 4 en tant que propriétaire.

Continuité

Bref, le bilan est pour l’instant largement négatif, même si un énième tournant potentiel se profile désormais à l’horizon. En effet, Divock, après l’énième affliction saisonnière, est prêt à se remettre à la disposition de Pioli. Qui s’est retrouvé dans la position délicate de devoir placer De Ketelaere comme avant-centre puisqu’en plus d’Origi, Rebic manquait également à l’appel au même moment. En plus, bien sûr, du patient de longue date Ibra. Origi revient, et il faudra voir « comment » il revient. La continuité est essentielle pour un joueur qui était déjà arrivé de Liverpool cet été dans le mauvais sens. Avec le poids d’une blessure musculaire qui lui avait fait manquer la finale de la Ligue des champions avec le Real. Et, avec le fardeau ultérieur d’une préparation estivale limitée, c’est le moins qu’on puisse dire.

Infirmerie

Tous les problèmes qui ont été clairement vus lorsque Pioli a commencé à remettre en question le Belge. Lors du match à l’extérieur de Vérone à la mi-octobre, par exemple, il avait donné des signes de vie réconfortants, mais ensuite l’émail avait été rongé au fil des semaines. Un autre anneau important a été le but contre Monza. Une torpille du pied droit venue de l’extérieur de la surface qui avait rappelé – pour ceux qui ont peut-être la mémoire courte – ce dont Divock est capable balle au pied. Mais il y avait beaucoup, trop d’intermèdes à l’infirmerie qui ne lui permettaient pratiquement jamais de se mettre vraiment en forme. D’abord une inflammation du tendon de la cuisse – en deux épisodes -, puis un ressentiment du fléchisseur. Bref, mauvaise santé, dans un tandem désagréable à côté de Rebic. Maintenant, une nouvelle renaissance, qui est particulièrement utile en observant le calendrier Rossoneri pour le mois et demi à venir. Objectif final ? Ayez-le dans une forme optimale pour le premier tour avec Tottenham: Divock de l’Angleterre et la Ligue des champions se comprend discrètement.



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