OM : les suspects terroristes d’Eindhoven sont autorisés à sortir de la cellule

Le ministère public estime que les terroristes présumés d’Eindhoven n’ont plus besoin de rester en prison. Le ministère public a d’abord cru que les neuf hommes avaient peut-être prévu de commettre une attaque. Mais désormais, les experts jugent, en partie sur la base de conversations avec les suspects, qu’il n’est pas question de « légitimer idéologiquement la violence ».

Les suspects ne soutiendraient pas non plus les organisations terroristes, comme le pensait initialement le ministère public. Au contraire. « Nous ne voyons aucune raison de douter des jugements des experts », a déclaré jeudi le procureur de la République lors d’une audience au tribunal de sécurité de Schiphol. Le juge doit ensuite décider si les suspects seront effectivement libérés, il n’est pas clair si cela se produira immédiatement jeudi ou un autre jour. Deux des neuf suspects avaient déjà été suspendus de leur garde à vue.

Le groupe, qui en Septembre a été arrêté l’année dernière, aurait loué un box de garage à Eindhoven pendant un an pour pouvoir s’entraîner, car les gymnases étaient fermés à cause du corona. Mais selon le ministère public, la case était un centre d’entraînement où le groupe se préparait physiquement et mentalement au djihad violent dans l’esprit du djihad violent. commettre une attaque

Selon l’OM, ​​les membres du groupe, âgés de 18 à 31 ans, regardaient régulièrement des vidéos de l’EI et des vidéos pédagogiques sur la fabrication d’armes et de bombes et parlaient d’attaques intentionnelles. Aucune arme ou explosif n’a été trouvé. Il n’y avait pas non plus de plans ou de dates concrets pour une attaque.

‘Erreur’

Les suspects eux-mêmes nient avec véhémence. Selon eux, ce n’étaient que de mauvaises et mauvaises blagues d’un groupe de connaissances qui se sont entraînés ensemble dans un garage à Eindhoven. Les avocats avaient déjà indiqué que le ministère public avait rendu l’affaire beaucoup trop grosse. « Toute l’affaire pénale semble reposer sur une erreur », a déclaré l’avocate Tamara Buruma.



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