NPO vient de parler secrètement à Matthijs : « 50 000 euros d’amende !


Le grand patron du NPO, Frederieke Leeflang, semble avoir deux visages : strict avec Matthijs van Nieuwkerk sur scène, discutant en coulisses d’un nouveau contrat. « 50 000, bien ! »

© Tom Tenseldam, Michel Schnater

Ça arrive initiés considérée comme un changement absolu de la donne : les déclarations extrêmement strictes faites par le grand patron de l’OBNL, Frederieke Leeflang, dans le Volkskrant début octobre. Elle était assise là, parlant de manière très inflexible d’un éventuel retour de Matthijs van Nieuwkerk. Elle a expliqué toutes les conditions lors de cet entretien.

Délinquant sexuel

Matthijs n’était autorisé à revenir que s’il avait franchi trois étapes : il fallait d’abord remettre le rapport, en outre, son retour “ne devait pas conduire à l’insécurité sur le lieu de travail” et “il devait y avoir une certaine capacité de réflexion”. Comme c’est douloureux : un jour vous êtes une star, le lendemain votre patron parle de vous dans le journal comme si vous étiez une sorte de délinquant sexuel.

Ce jour-là, tout a changé pour Matthijs, déclare aujourd’hui l’initié de la radio Rutger Castricum à la table. Aujourd’hui à l’intérieur. Ils l’ont pour ainsi dire poussé dans les bras de RTL et Talpa – il a maintenant signé avec RTL, un accord avec Talpa a échoué à cause de l’attitude de John de Mol. Mais hein, de toute façon, le NPO n’était pas une option à cause de la méchante dame Frederieke ? Ou est-ce différent ?

Hypocrite

Oui, c’est différent. Hier soir, l’AD a publié un article très accablant sur la radiodiffusion publique : “Matthijs van Nieuwkerk, Op1 et des centaines de plaintes : c’est le chaos à l’OBNL‘. On y lit toutes sortes de folies, mais aussi que l’OBNL discutait en secret avec Matthijs. Avec ce rapport encore loin d’être visible.

Frederieke est donc très stricte devant la scène, mais en coulisses, elle ne mène tout simplement pas de négociations contractuelles. De quel genre d’imposture s’agit-il ? C’est tout à fait normal à Hilversum, car Bridget Maasland estime que RTL aurait également dû le faire, mais pour les personnes extérieures à la bulle, cela semble très hypocrite. Et c’est tout.

50 000 euros

Cette espiègle Frederieke était apparemment tellement gênée par cette conversation avec Matthijs que les personnes impliquées ont dû signer un contrat de confidentialité sous peine de 50 000 euros. Jan Slagter, qui, avec son Omroep MAX, était prêt à servir d’abri pour Matthijs, le confirme dans l’AD : “Oui, je peux le dire maintenant.”

Jan a donc également signé. Heureusement, il a gardé les lèvres serrées, sinon il aurait pu s’en tenir à une autre année de MAX Memory Trainer. « C’est moi qui ai insisté pour parler à Matthijs. Si vous attendez, vous arriverez trop tard, car tout le monde savait que plusieurs partis voulaient Matthijs.»

Tout secret

Tous juteux tous. Et qui aura le couteau de Jan dans le dos ? Frederieke bien sûr. «Frederieke a tenu à ce que tout cela reste secret, car elle a toujours dit que les discussions avec Matthijs n’étaient autorisées qu’après le résultat du rapport de Van Rijn. Si cela sortait, elle perdrait la face.

Ah, donc Frederieke souffre maintenant prématurément. Embarrassant et intolérable. Et maintenant, elle a aussi Johan Derksen sur son toit : « Je ne la connais pas, mais d’après les médias, je pense que c’est une femme très ennuyeuse. Oh, c’est vrai, elle aussi a un visage ennuyeux. C’est hypocrite, hypocrite. On se sent toujours idiot s’il s’avère que c’est pour garder un secret.

Aussi bien que réglé

Les critiques s’accordent à dire que cela aurait été plus fort si Matthijs avait fait son retour au NPO et non à RTL. La réconciliation ultime. Aucune image comme s’il avait fui vers les points de vente. Et selon Rutger Castricum, c’était aussi l’intention. “Je pense que c’était presque réglé avec Matthijs van Nieuwkerk.”

Oui? « J’ai eu cette impression, oui. Je pense donc qu’à cause des déclarations de Leeflang dans le journal : ‘Nous devons attendre cette enquête’, Matthijs a déclaré : ‘Je ne vais pas attendre cela.’

La mission secrète Matthijs de NPO n’a donc abouti à rien. Une bataille perdue d’avance entre image et désir.



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