Nous nous sommes promenés dans le château du Petit Trianon à Versailles. ‘Ce serait bien’, soupira ma femme, ‘si mon mari me donnait quelque chose comme ça’ | colonne Herman Sandman

Nous avons décidé d’aller déjeuner au Petit Trianon, un petit château dans le parc de Versailles. Ma femme voulait le voir, en partie parce que le roi Louis XVI l’avait donné à sa femme Marie-Antoinette.

Alors que nous nous promenions à l’intérieur, le mien a dit: « Bel endroit ».

Ce qui a suivi n’était pas difficile à deviner : ,, J’apprécierais que je fasse quelque chose comme ça par exploiter mari a reçu un cadeau. »

J’ai râlé que ce n’était pas si simple. Après tout : ‘petit’ et ‘petit château’ représentaient quelque chose de différent à Versailles que chez nous. Le complexe s’étendait sur quelque 800 hectares. Dites la moitié de notre village.

Mais si on regardait les choses dans les bonnes proportions, quelque chose serait peut-être possible. « Notre garage le pourrait. Ne contient qu’une remorque. Je te le donne. C’est quoi ? »

Il y a aussi un Grand Trianon, pour lequel Louis XIV acheta tout le village de Trianon et le fit démolir. Les deux maisons étaient un peu à l’écart de la route, nous avons donc loué une voiturette de golf. Ce n’était pas bon marché, mais nous étions une fois dans l’une de ces choses.

Ce farfelu roulait lentement, les joggeurs nous dépassaient facilement, mais on avait le temps d’expliquer que ce n’était pas bien d’être aussi exigeant. Marie-Antoinette a dû payer pour ça aussi.

Bien qu’une mère attentionnée et attentionnée, elle a contribué à la chute de la monarchie française. On disait qu’elle était une tête de pont et on l’appelait « Madame la dette nationale » en raison de ses dépenses.

La reine, comme son mari, a été décapitée pendant la Révolution, et bien qu’elle n’ait fait aucun bruit et s’est excusée auprès du bourreau pour lui avoir accidentellement marché sur les pieds, après l’exécution, le peuple a baptisé le manches dans son sang.



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