Il suffit d’oser en tant que grande banque : pendant des mois avec un accord tacite, ne pas augmenter les intérêts des livrets d’épargne pendant que vous réalisez des bénéfices records grâce aux taux d’intérêt plus élevés de la banque centrale. Pour ensuite employer les mots « concurrence déloyale » au lancement du chèque gouvernemental. Inéquitable ou pas, Dieu merci, les banques ont à nouveau le sentiment que la « concurrence » existe toujours.
Dimitri Antonissen
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