La ville d’Anvers dispose encore de 48 bonnes heures pour décider de verser ou non une « rançon » aux hackers qui détiennent en otage les systèmes informatiques. « L’affaire révèle douloureusement à quel point le gouvernement est mal armé contre les cybercriminels », écrit le rédacteur en chef adjoint Dimitri Antonissen. « L’endroit où sont stockées les informations les plus sensibles vous concernant doit les défendre auprès de « soldats » qui gagnent souvent moins de la moitié de leurs collègues du secteur privé. Ce n’est que lorsque le privé et le gouvernement travaillent ensemble que nous avons une chance contre les pirates.
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