C’était un élément frappant dans la phrase de Jurgen Demesmaeker. Que sa « mère froide » a été pointée du doigt assez sévèrement, qui « a formé son caractère par manque de sécurité ». Était-ce alors – comme Demesmaeker l’a prétendu toute sa vie – la faute de quelqu’un d’autre ? Et cet homme sera-t-il « calmé » lors de son éventuelle libération, comme le croit la défense ? « D’ici là, ce sera une autre histoire sexuellement. Non? »
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