Notre journaliste constate que Gand devient peu à peu une réserve pour les couples hautement qualifiés à double revenu : « n’est plus une ville de l’homme ordinaire »

Il n’y a pratiquement aucun endroit en Flandre où les maisons soient aussi chères qu’à Gand. C’est pourquoi un référendum officiel sur le logement abordable y aura lieu dimanche. Le groupe d’action Too Duur présente deux déclarations aux Gantois. La ville doit créer une réserve de terrains publics afin que 40 pour cent de logements sociaux puissent être créés, et l’immobilier municipal ne doit pas être privatisé. Le journaliste Sander Van den Broecke (57 ans) est un Gantois et il votera «oui», «et pas seulement parce que je deviens un vieux chauvin».



ttn-fr-3