NOTRE OPINION. “Ne plaidons pas tout de suite pour la politique du chalumeau”
Que faites-vous des groupes de têtes brûlées qui viennent gâcher le plaisir d’un étang de baignade ou sur la plage ? Le débat revient chaque année. Et bien que les fabricants d’amok ne se présentent pas tous les jours et partout, la question se pose de savoir comment faire pour que cela reste agréable pour les familles et les jeunes qui peuvent garder la tête froide. Ne rien faire n’est pas une option, mais le pendule ne doit pas non plus osciller, écrit la journaliste politique Astrid Roelandt. “Les gestionnaires et les maires peuvent déjà prendre de nombreuses mesures aujourd’hui.”
24 juin