Noël en célibataire peut rimer avec solitude. Les conseils du docteur Cozzolino pour profiter des vacances avec joie. Même seul


Scélibataire à Noël est souvent synonyme de solitude. Si ce n’est pour ceux qui en font l’expérience directe, pour ceux qui le voient de l’extérieur. Et c’est immédiatement dramatique. Maman, sœur et amies commencent à pitié de ceux qui ne sont pas seuls, mais qui sont seulement libres. Pourtant, les incursions des amis et des proches peuvent, même de bonne foi, gâcher les vacances. Comme, comment vivre la période de Noël et du Nouvel An comme une fête et pas comme une phrase ?

Célibataire et heureux : conseils pour apprendre à se sentir bien dans sa peau

Un choix ou une phrase ?

«Tout d’abord, nous devons nous demander: « Suis-je célibataire et est-ce que je vais bien ou mal? ». Je n’ai pas de partenaire dans de nombreux cas, c’est un choix. Sinon, cela peut être une condition difficile et fatiguant. Surtout pendant la période des fêtes qui touchent des cordes sensibles chez ceux qui vivent un moment de mal-être. Peut-être que ma sœur est au dîner avec son mari, ou que ma meilleure amie a reçu la bague tant attendue en cadeau de son petit ami. Mais Être seul n’est pas une malchance et donc nous ne devons pas vivre avec l’anxiété, le stress et un sentiment d’injustice. Alors que faire? La psychologie n’est pas une science exacte, mais elle peut d’une manière ou d’une autre vous aider à atteindre un bon équilibre avec quelques petites règles. Le premier est : pour prévenir», explique le Docteur Marinella CozzolinoPsychothérapeute et Sexologue Clinicien.

Mot de passe : prévention

«Ceux qui vivent mal le célibat doivent essayer de prévenir et organiser des fêtes pour ne pas souffrir de solitude. Et cela ne s’applique pas seulement à Noël mais à tous les jours de l’année. Il y a des gens abandonnés du jour au lendemain par leur partenaire qui, plutôt que de passer les vacances seuls, ils s’inscrivent pour une application réunions. Il y a des célibataires qui reviennent pour Noël ils organisent des voyages entre amis. Il y a ceux qui décident de profiter d’une situation peu favorable pour faire du bien aux autres. est impliqué dans le bénévolat ou quiconque choisit de aller rendre visite à des parents qui vivent à l’autre bout du monde. Bref, celui qui ne veut pas être seul n’a pas sa place », poursuit l’expert.

Noël en célibataire : neutraliser les questions des proches

«Pendant les vacances, où règne l’image de la famille heureuse, les questions désagréables des proches risquent de causer encore plus de tort. Les « classiques » sont : «Quand est-ce que tu te fiance ? », « Quand est-ce que tu te maries ? » ou, pour ceux qui sont déjà en couple : « Quand est un bébé? ». Même dans ce cas il faut agir en amont pour créer des relations qui ne permettent pas ce type de questionnement. Pour une raison simple : ils n’ont pas fini. Les gens ne savent pas un peu, ils s’en moquent un peu, ils sont un peu curieux, ils se réjouissent un peu des défauts des autres. En effet, il y a ceux qui utilisent ce qu’ils considèrent comme les échecs des autres pour se sentir un peu mieux dans leur peau. C’est comme ça que j’agis habituellement les personnes ayant une faible estime de soi. Si je suis déjà victime d’une situation, parce que je suis célibataire et que je ne le souhaite pas, je ne peux certainement pas être victime d’autre chose. C’est pourquoi nous devons réagir », conseille le docteur Cozzolino.

Noël en célibataire : pourquoi être sincère

«Une option est de jouer tôt, déclarant en premier et dis clairement : « Puisque je sais que tu me le demanderas, sachez que je ne suis pas fiancé et que pour le moment, je n’ai vraiment pas l’intention de le faire. ». Alternativement, vous pouvez choisir de accepter les questions et répondre avec une extrême sérénité. Nous parlons d’amis et de parents, c’est-à-dire de personnes que nous aimons. Leurs questions pourraient donc être la manifestation d’un réel intérêt à notre égard. Ils pourraient cacher : « Comment je peux aider? ». L’ouverture peut avoir pour effet de trouver de nouvelles solutions possibles. Peut-être que le cousin, comprenant la difficulté, pourrait proposer de sortir plus souvent avec nous. Ce qui pourrait s’avérer être une chose vraiment positive », conclut l’expert.

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