L’ancienne star de la boxe italienne se raconte : “A Paris, je ne connaissais pas la rue et on partageait un lit à deux, à Bogliasco j’ai vu la Sampdoria mener la belle vie. En Italie, personne ne m’a jamais dit ‘Sale nègre'”. , mais les politiciens qu’ils nient…”
On le retrouve devant une station-service de la Via Ostiense, où il nous a pris rendez-vous lors de notre conversation téléphonique. Nous descendons le saluer et dans l’étreinte chaleureuse qu’il exhibe naturellement, c’est comme serrer une petite colonne de marbre : à soixante-quatre ans, Nino La Rocca est encore un athlète, qui en fait quinze de moins, si l’on veut être sévère. Et il sourit comme quelqu’un qui en a vu et vécu tant qu’aucune question ne l’étonne.