GroenLinks Le député Henk Nijmeijer d’Assen est candidat au Sénat. Il est numéro 7 sur la liste provisoire des candidats au Sénat. GroenLinks dispose désormais de huit sièges au Sénat.
Nijmeijer, 64 ans, est “super fier”. “C’est quelque chose d’arriver aussi haut sur la liste en tant que candidat régional. La concurrence est très forte pour une place au Sénat et il n’est pas facile pour les régions d’intervenir”, estime l’homme politique d’Assen.
Nijmeijer qualifie sa septième place sur la liste de “hautement éligible”. “Certainement, parce que nous nous en sortons bien dans les sondages.” Il siège pour GroenLinks au Parlement de Drents depuis près de huit ans maintenant. Il a dirigé le parti parlementaire jusqu’au milieu de l’année dernière, mais a démissionné de son poste de président en raison d’un nouveau travail chargé.
Maintenant que l’opportunité d’entrer au Sénat se présente, Nijmeijer la saisit à deux mains. “J’ai 64 ans, un bon âge pour redevenir sénateur”, s’amuse Nijmeijer. De 2006 à 2013, il a été président régional de GroenLinks Drenthe et de 2004 à 2006 président de département de Midden-Drenthe.
La liste des candidats au Sénat sera finalisée lors du congrès national du parti le 4 février.
Les 75 membres du Sénat sont élus par les membres des douze Conseils provinciaux. La forme est celle des élections indirectes. L’année prochaine, il y aura un nouveau Sénat, après les élections provinciales du 15 mars. Dans les trois mois suivant les élections législatives, les nouveaux parlementaires élisent à leur tour les membres du Sénat.
À l’heure actuelle, il n’y a pas un seul politicien de Drenthe au Sénat. Seul l’ancien Drent Henk Otten, chef de la faction Otten, est originaire de Hijken. Mais il vit à Amsterdam depuis des années. Otten a été co-fondateur du Forum pour la démocratie et a représenté ce parti au Sénat en juin 2019. Au bout d’un mois, il a déjà été expulsé de la faction après une grosse bagarre. Il a ensuite lancé la faction Otten, qui occupe deux sièges au Sénat.