L’usine de traitement d’huile NAM à Schoonebeek, où l’huile est séparée de l’eau. Photo: Marcel Jurian de Jong

NAM ne voit pas d’alternative plus durable, dans laquelle seulement 25 % des eaux usées vont dans le sol. « Cela nécessite une nouvelle station d’épuration avec des techniques qui ne sont plus utilisées nulle part dans le monde. Il y a des risques majeurs car il faut passer par une phase de test. Et une telle usine est très grande, il faut la vouloir dans votre région », explique Simon Vroemen, le directeur NAM responsable de l’extraction pétrolière à Schoonebeek. Un autre facteur important pour ne pas opter pour l’option la plus durable est que, selon Vroemen, il faudra encore quatre ans avant que NAM puisse reprendre l’extraction de pétrole à Schoonebeek.



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