NAM doit attendre une « alternative plus propre à Drenthe » pour redémarrer l’injection des eaux usées

Le NAM ne peut pas recommencer à injecter des eaux usées dans le sol de Twente, mais doit attendre que l’alternative à Drenthe soit prête. Le permis expirera le 1er janvier, a annoncé le ministère de l’Économie et du Climat sur Twitter. « Ainsi, le démarrage n’est alors pas possible. »

La compagnie pétrolière travaille à Drenthe sur une alternative pour injecter les eaux usées, mais veut injecter dans le sol de Twente en 2023 – tant que les puits d’injection ne sont pas encore prêts. Mais un redémarrage à Twente se heurte à des objections pour les habitants. Ils sont préoccupés par leur santé et leur sécurité et s’opposent depuis des années à l’introduction d’eaux usées dans le sol de Twente.

Ceci est basé sur les irrégularités qui ont été constatées en décembre, comme une concentration beaucoup trop élevée de la substance toxique toluène dans l’eau. C’est pourquoi tant l’injection d’eaux usées que l’extraction de pétrole à Schoonebeek se sont arrêtées.

Selon les attentes, les puits de Twente ne seraient plus utilisés, mais NAM prévoit toujours un redémarrage jusqu’à ce que les puits d’injection de Schoonebeek soient terminés. Selon le secrétaire d’État Hans Vijlbrief (D66), ce n’est pas une option, a-t-il déclaré par l’intermédiaire de son ministère. « NAM travaille sur une alternative plus propre à Drenthe. Si cela peut être fait en toute sécurité, l’extraction de pétrole peut reprendre. »



ttn-fr-41