Municipales, vers les urnes : voici les sept défis décisifs pour Meloni et Schlein

Scrutins des 28 et 29 mai, l’enjeu de décider qui, parmi le centre-droit, sera en tête Giorgia Melon et centre-gauche à la barre Elly Schlein il aura gagné ces administrations. Au premier tour, le centre-droit a conquis quatre maires dans les capitales provinciales (reconquête de Latin et reconfirmer un Sondrio, Trévise, Impéria) et les deux de centre gauche (reconfirmation a Brescia Et Téramo). Désormais, les yeux sont tournés vers le deuxième tour dans les capitales d’Ancône, Brindisi, Vicence, Pise, Sienne, Massa et Terni. Au total, 1,3 million d’électeurs dans 41 villes seront appelés à voter.

Ancône

Bastion rouge historique, Ancône voit des alliés de centre-gauche et le Troisième Pôle. Le centre-droit pointe le revirement historique, après quoi étonnamment Daniel Silvetti (venant de Fi), avec 45%, a dépassé le candidat de centre-gauche et troisième pôle Ida Simonelle (41,3 %) au premier tour. Le centre-gauche a déjà lancé sa cour vers le troisième classé, le candidat civique avec une longue histoire à gauche Francesco Rubini Filogna, qui a pris 6,1%. De même, la parade nuptiale s’est amorcée vers le M5 (le candidat Enrico Sparapani a pris 3,6 %) et les Verts (soutenu par Roberto Rubegni, 1,7 %). Il n’y aura pas de comparutions officielles, mais le centre-gauche espère que les électeurs sont proches de ces candidats, rendant l’issue finale très incertaine.

Apparence formel à la place il y avait au centre-droit entre Silvetti et la liste Commençons par les jeunes avec le plus jeune candidat à la mairie d’Italie (22 ans) Marco Battino, qui au premier tour a recueilli 2,18% des voix.

Toasts

Brindisi, issu d’une administration de centre-gauche, voit le candidat de centre-droit, l’indépendant Giuseppe Marchionna (également soutenu par le Troisième pôle) devance à l’issue du premier tour avec 44%, tandis que le candidat de centre gauche, expression des Cinq Etoiles, Roberto Fusco, a pris 33 %. Là aussi, quoique sans apparences formelles, le centre-gauche espère l’électorat des exclus : le candidat de Verdi-Si, Riccardo Rossi, qui dispose d’une dot de 10,1 %. Mais Rossi est le maire sortant, que le centre-gauche ne l’a pas renommé, choisissant Fusco, également en vertu de l’accord entre le Pd et le M5. Le centre-droit, quant à lui, se tourne vers l’électorat de Pasquale Luperti du Mouvement régional du Salento, un citoyen lié au centre-droit, qui a obtenu 12,5 %.

Vicence

Le match est également très incertain à Vicence, où le maire sortant François Rocco (centre-droit indépendant de An) s’est arrêté à 44%, tandis que le candidat de centre-gauche et troisième pôle, Giacomo Possamaï, a obtenu 46,2 %. Ici les candidats hors des deux pôles principaux n’ont récolté que des miettes (même le M5S n’a même pas atteint 1,7 %) : le défi sera remporté par celui qui parviendra à reconfirmer le plus de voix au second tour.



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