– Il y a des jeunes avec un grand potentiel comme Ersin, Can, Rıdvan, Serdar et Emirhan dans l’équipe de Beşiktaş. Qu’attendez-vous de ces noms ?
« Il y a des footballeurs qui sont très populaires sur le terrain. On se dit que s’ils jouent, cette équipe marquera des buts et deviendra championne. On s’attend à ce que les jeunes soient de tels personnages. Tout d’abord, je veux qu’ils donnent de l’espoir au Ventilateurs. »
– Il y a un risque que Beşiktaş ne puisse pas participer aux coupes d’Europe. Le fait d’être en Europe ne gâche-t-il pas économiquement vos projets ?
« Cela va un peu gâcher. Nous étions les derniers à aller en Ligue des champions et à récolter le plus d’argent. Nous ne sommes pas dans une très bonne situation à cause des points du pays. Nous sommes entrés directement dans les groupes l’année dernière. C’est pourquoi nous étions le dernier à trouver les meilleures conditions possibles. Nous avons gagné le championnat l’année dernière. C’était très important. »
– Personne n’avait entendu parler de Valerien Ismael en Turquie. Vous l’avez soudainement trouvé, l’avez apporté. Où l’as tu trouvé? Qui a suggéré? Qu’est-ce qui a influencé votre choix ?
« Ismael a une carrière d’enseignant. Nous regardons les carrières de tous les noms. C’est un nom ambitieux, travailleur qui valorise les jeunes. Si vous trouvez un enseignant qui est susceptible de gagner 8 championnats, pas un enseignant qui a 8 championnats, vous aurez du succès. Vous avez vu quelqu’un gagner de l’argent sans travailler et réussir son école sans travailler. Le professeur regarde le match du matin au soir. »