Morimoto : "Moi, les blagues de Mascara et la chemise de Paloschi. Et si Baggio nous lit…"

L’attaquant japonais retourna en Sicile, où il arriva à Catane dès sa majorité. Maintenant, il marque avec Akragas : « Mais je me vante encore de ce but contre Buffon auprès de mes amis… »

Il a quitté la Sicile il y a dix ans, mais son italien est toujours parfait : « Je suis de retour chez moi, c’était mon rêve. Ce pays m’a beaucoup manqué. » Takayuki Morimoto a le même bonheur qu’à son arrivée à Catane. C’était en 2006, il n’avait que 18 ans : « Tout le monde a commencé à m’appeler Maremoto, ce n’est qu’au bout de quelques semaines que j’ai compris ce que cela signifiait ». Son aventure en Serie A est faite de buts et d’histoires curieuses. Mais l’attaquant japonais a toujours été timide, timide, réservé. Pour la Gazzetta, il a fait une exception. Lorsqu’il décide de raconter son histoire, il est comme un fleuve en plein débit : « Après l’Italie, j’ai parcouru le monde. Japon, Arabie Saoudite, Paraguay, Taiwan. J’ai dit à tout le monde que j’avais marqué contre Buffon. Beaucoup de choses, c’est une légende. » En parlant de champions, Taka a aujourd’hui un autre rêve à réaliser : « Rencontrer Roberto Baggio. C’est une idole pour moi. »



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