Mon mot de sécurité préféré est « bien », gracieuseté du sketch « I Knew Stephen Hawking » de The Partisans | colonne Herman Sandman

Quand ma femme rapporte qu’elle court après une montre avec le plus jeune fils, je dis : « Bien. » Je donne la même réponse quand elle demande : « C’est comme ça que tu commences à cuisiner ? » « Bien ».

Le mot d’ordre vient du sketch « Je connaissais Stephen Hawking » du duo de cabaret De Partizans. On peut encore le voir sur YouTube et de temps en temps, par exemple en vacances, on le regarde avec toute la famille. Toujours amusant, même après trois cents fois.

Il s’agit d’un homme de Tynaarlo qui, après le décès du célèbre physicien, révèle qu’ils sont allés à l’école maternelle ensemble à cet endroit et que Hawking lui a en fait volé toute l’idée des trous noirs.

Il prononce le prénom de Hawking comme « Stiem ». À la fin, l’intervieweur souhaite à l’homme de Tynaarlo de la force face à la perte de son « bon ami » et il répond par : ,,Bien. »

C’est périodiquement, comme pendant les vacances, que j’utilise «bien» de manière inappropriée et inappropriée, par voie d’humour, mais remarquablement souvent, c’est aussi correct comme réaction.

« Allons-nous prendre une bouteille de vin avec le déjeuner ? »

« Je vais à la boutique chercher un livret sur Louis XIV. »

Le beau jardin de Monet. C’est ce que je veux aussi. »

,,Après Fontainebleau nous passons devant quelques brocantes. »

Mais bien sûr, il y a une limite au nombre de fois par jour où vous pouvez dire « bien » aux personnes avec qui vous vivez sous le même toit semaine après semaine.

J’ai regardé ma femme rouler des yeux de plus en plus jusqu’à ce qu’elle soupire, « Peut-être qu’il est temps d’arrêter de dire ‘bien’. »

,,Bien. »



ttn-fr-45