mis à la porte! L’ex-responsable des soins poursuit Charité


Tribunal du travail, chambre 334. La Charité de Berlin, le plus grand hôpital universitaire d’Europe, est poursuivie. 19 000 employés, 3000 lits.

La plaignante : Judith Heepe. Vétéran de la Charité, a commencé comme infirmière il y a 30 ans. En tant que directrice des soins infirmiers, elle était la dernière responsable de 4700 membres du personnel infirmier. En décembre 2017, son contrat a été prolongé jusqu’au 31 mars 2023. A cette époque, le président du conseil d’administration, Prof. Dr. Karl Max Einhäupl son « attitude obligeante et communicative », « haute motivation », « excellente connaissance ».

Mais en février 2022, la Charité a étonnamment expulsé la top woman : Il y a plusieurs licenciements ordinaires extraordinaires et préventifs !

L'adjointe Jenny Wortha a également été licenciée (Photo: Privé)
L’adjointe Jenny Wortha a également été licenciée (Photo: Privé)

Maintenant, les avocats se réunissent au tribunal. La juge du travail Anke Weyreuther : « Si les allégations sont vraies, une coopération ultérieure est exclue. » On parle de « comportement toxique de la direction », de « résistance accumulée envers le conseil d’administration », de choses qui « ont été rapportées par des employés individuels par la suite à le côté employeur » devrait l’être.

La juge du travail Anke Weyreuther (Photo : Sven Meissner)
La juge du travail Anke Weyreuther (Photo : Sven Meissner)

► L’avocat de la Charité : « Il s’agit de comportements très discutables et aussi criminels. » Hebdomadairement d’autres salariés rapporteraient qu’il y avait « des citations relativement claires ».


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► L’avocat des expulsés : « J’ai été appelé par vous il y a deux mois, c’était un jeudi ou un vendredi. Ils ont indiqué que le licenciement sans préavis serait prononcé lundi. Ils ne pouvaient pas dire les raisons pour des raisons de protection des données, et certainement pas au téléphone. Mais les allégations sont très, très sérieuses. Une taupe a été utilisée. Tu n’as absolument pas voulu m’expliquer les raisons ! Puis un licenciement après l’autre a été licencié, un total de six ! Parsemé d’allégations issues de discussions confidentielles de l’équipe de gestion des soins. Tout était en privé, où vous ne vous attendriez pas à ce qu’une taupe enregistre des conversations ! Je pense qu’il est nécessaire de mettre fin à ce dénigrement contre un chef de soins méritant à un moment comme celui-ci ! Des conversations confidentielles dans le cercle de la direction ont été mises sur écoute. Il va sans dire que vous vous défoulez dans l’espace protégé et confidentiel.

► L’avocat de la Charité : « Vous marchez sur une glace très fine quand vous prétendez que j’ai dit taupe. Cette affirmation est incorrecte ! Notre poudre est loin d’avoir disparu… »

Les négociations de conciliation ont échoué. Nouvelle date en octobre. Si les deux ne sont pas d’accord sur quelque chose à l’avance.



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