Miqui Puig récupère Irantzu Valencia et fait danser Queralt Lahoz


‘Miqui Puig Canta vol 7′ sera le nouvel album de Miqui Puig à la fin de ce printemps. Ce sera la suite de ’15 chansons d’amour, de boue et de motos’. Un album qui contiendra ce que Primavera Labels définit comme plusieurs « odes à la danse à l’âge adulte ». L’album est déjà présenté en direct et après quelques présentations à Valence et à Lleida, ce 30 avril, le Monumental Club de Barcelone vous attend.

Pour les singles de ‘Miqui Puig Canta vol 7’, l’artiste s’est entouré de deux voix qui n’ont rien à voir l’une avec l’autre. En décembre est parue ‘Cadera de mimbre, la leyenda’, une chanson pas très Noël, qui ne fait pas grand honneur à son nom, très étrange, dans laquelle la voix invitée est celle d’Irantzu Valencia. La chanteuse tant attendue de La Buena Vida, qui, nous l’espérons, aura la piqûre à mesure que ses enfants se rapprochent de l’université, vient ici chanter la fin de cette rareté insaisissable. « Peur, amour et boîtes à rythmes », répète-t-il encore et encore, dans une chanson… sur la douleur de la déglutition ?

Plus compréhensible par tous est le nouveau single « Pors Puig », « Miedos Puig ». Il est présenté comme un revers de « Miqui contre le monde », puisqu’il s’agit du même personnage. Quelqu’un « de très semblable à Miqui Puig lui-même, saisi par des peurs toujours plus profondes, partagé entre fuir à la recherche du bonheur ou accepter ses peurs avec une certaine amertume ».

Et si la peur était un mot récurrent dans le thème d’Irantzu Valencia, c’est ici aussi. « La peur reste, elle vit avec vous, elle est devenue votre grande amie », dit une lettre marquée par le personnage principal, qui « ne se souvient que de ce qu’il veut » et « ne pense à rien de spécial non plus ». La révélation Queralt Lahoz est la voix invitée dans ce cas, dans un registre décontracté et de style flamenco, ce qui nous encourage à aller de l’avant. peu importe ce que, tandis que les synthétiseurs pointent vers la piste de danse et la synth pop des années 80. Disque qui lui convient aussi bien qu’à Soleá Morente.



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