Milano-Cortina Jeux et systèmes d’alarme. Salle: "San Siro s’inquiète"

Le maire invité du Conseil national du Coni dans la capitale lombarde : « Pour avoir un nouveau stade, il manque désormais les temps techniques ». Président Malagò : « Les travaux avancent mais il y a des retards »

Il y a seize jours, le drapeau olympique arrivait via Pékin (lundi, sur le même parcours, ce sera au tour du drapeau paralympique). Entre-temps, après le Coni Coni n. 1123 tenue à la Tour Allianz, ici pour la première fois dans le ventre de San Siro le Conseil National (n. 288). Milan-Cortina 2026 approche (presque) et le comité olympique, pour honorer la ville qui sera le siège de la revue à cinq cercles, déplace exceptionnellement ses réunions périodiques de Rome vers la capitale lombarde. L’invité du Conseil national est le maire Giuseppe Sala, catégorique sur le fait que la cérémonie d’ouverture des Jeux, prévue le 6 février 2026, aura lieu dans l’actuel San Siro. « Pour avoir un nouveau stade – argumente-t-il – entre les recours au TAR et d’éventuels référendums, il n’y a désormais plus de temps technique. Cela restera une installation très digne, mais je ne peux pas nier les inquiétudes sur l’avenir. Le stade est clairement lié à Milan et l’Inter, d’autres usages c’est difficile de les identifier, j’ai fait tout mon possible, je continue le dialogue, mais si les équipes choisissent des voies différentes, comme elles ont exprimé leur volonté de le faire depuis le début, on pourra faire peu « .

JEUX EN ITALIE

Giovanni Malagó, président de Coni, élargit la discussion sur tous les sites de Milan-Cortina. « Dans les prochaines heures – dit-il – le projet de l’Arena di Milano Santa Giulia sera présenté, qui accueillera le tournoi de hockey sur glace masculin et sur lequel un appel au Tar est en cours. En général, il y a un certain retard, mais Je reste confiant. Patinage de vitesse longue piste, notre dossier a toujours prévu de se dérouler à Baselga di Pinè. L’affaire est cependant sujette à discorde, avec de nombreux intervenants, fédération internationale en tête, qui poussent dans une autre direction. Je défendrai le choix jusqu’au bout, mais il est clair qu’en pensant aussi en termes d’héritage olympique, on ne pourra pas engager de dépenses folles ». La référence est à la couverture de la structure.

AVEC L’UKRAINE

Malagò ne peut manquer de se concentrer sur la situation internationale : « Nous vidons nos entrepôts pour envoyer, par l’intermédiaire du Comité olympique hongrois, tout type de matériel au peuple ukrainien. Même en tant que membre du CIO, je suis en contact permanent avec Sergey Bubka, chef de du Comité National Olympique. Y aura-t-il des pays absents de nos JO ? Il faut être réaliste : je pense que ce sera inévitable ». La Russie et la Biélorussie, on le sait, sont suspendues de toute activité internationale.



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