Milan-Turin, c’est la fête des sprinteurs : Cavendish contre Groenewegen et Girmay

Mercredi la plus ancienne classique : première édition 1876. Départ de Rho et arrivée à Orbassano après 192 km. Bettiol revient après le crash des Strade Bianche : test pour Sanremo. L’Olympien Carapaz fait ses débuts

Mercredi est le grand jour de la 104e Milan-Turin, la plus ancienne classique du monde : première édition 1876. Départ de Rho et arrivée à Orbassano après 192 km. 17 équipes et 115 coureurs au départ. A trois jours de Milan-Sanremo ce sera la fête des sprinteurs : Mark Cavendish, vainqueur en 2022, face à Dylan Groenewegen, Biniam Girmay, Fernando Gaviria, Nacer Bouhanni, Matthew Walls, Matteo Malucelli, Luca Mozzato, Jordi Meeus et Matteo Moschetti. Alberto Bettiol revient à la course, après la grande frayeur des Strade Bianche, lorsqu’il s’est violemment cogné la tête et a été sauvé par son casque : un test important pour le Florentin en vue de Sanremo samedi. Parmi les partants figurera le vainqueur du Giro d’Italia 2019 Richard Carapaz, qui fera ses débuts saisonniers.

histoire

Le Milano-Turin est né le 25 mai 1876, 33 ans avant le Giro d’Italia. Si presentarono in otto al via sui velocipedi dell’epoca e il milanese Paolo Magretti, studente del liceo Parini, naturalista ed esploratore, famoso per gli studi di zoologia e sugli insetti, fu il primo dei quattro pionieri che arrivarono a Torino, accolti da diecimila gens. Onze heures pour parcourir 150 km, moyenne de 13,3 km/h.

chemin

Le parcours est sensiblement plat, sauf pour la traversée du Canavese où quelques rampes sont proposées ainsi que de courtes montées et descentes qui n’ont ni longueurs ni pentes particulières. Départ de Rho pour traverser la haute vallée du Pô sur des routes plates dans la zone des rizières, touchant Magenta, Novara et Vercelli pour ensuite se diriger vers la zone du Canavese à Caluso et Foglizzo. Le Canavese se présente avec de petits hauts et des bas qui continuent jusqu’au nord de Turin dans la zone du Parco della Mandria. A l’entrée du Val di Susa, la route revient sensiblement en légère descente ou à plat jusqu’à l’arrivée. Dans les agglomérations traversées, vous rencontrerez les obstacles habituels de la ville comme les ronds-points, les interdictions de circulation et les passages surélevés. 5 derniers km à plat sur des rues très larges de la ville avec des ronds-points en succession. Dernier virage à 400m de l’arrivée.



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