Après la victoire contre l’Écosse, le géant de Trévise donne un coup de pouce aux Azzurri : « Nous voulons le meilleur tournoi de tous les temps. Rees-Zammit dans la NFL ? C’est bien d’essayer, mais je ne le ferais jamais »
Le lendemain, c’est encore plus beau, selon Tommaso Menoncello. Bien sûr, les coups portés par les Highlanders écossais se font sentir, mais ils sont peu de chose comparés au bonheur d’avoir interrompu par une sacro-sainte victoire un jeûne qui a duré 11 ans et 26 matchs, ceux qui se sont écoulés depuis le dernier succès italien à maison. Il n’y a pas grand-chose à faire, cette Italie est forte et le Trévisien de 21 ans, après avoir raté la Coupe du monde française à cause d’une blessure, n’en rate plus jamais une: toujours titulaire sous la direction du nouvel entraîneur Gonzalo Quesada, avec son coéquipier de Benetton Juan Ignacio Brex – homme du match à l’Olimpico – forme l’une des paires de centres les plus fortes au monde. Et il n’a que 21 ans, cela mérite d’être répété.