Maxime Meiland veut une plus grande part du butin de Talpa : « J’en vaux la peine »


Maxime Meiland ne se contente pas de laisser ses parents décider quelle partie du butin Talpa elle recevra. En fait, il y a beaucoup de combats au sein de la famille. « Mais je le vaux bien !

© SBS 6

Les Meilandjes gagnent une somme incroyable à Talpa, car après les hommes de Today Inside, ils sont de loin les plus importants pour le vaisseau amiral SBS 6. Encore plus important que Linda de Mol, qui n’apparaît aujourd’hui à la télévision que lorsque certaines valises doivent être ouvert. Mais quelle est la clé de répartition au sein de la famille Meiland ?

Clé de répartition

Il est incontestable que sans Martien Meiland il n’y aurait jamais eu de feuilleton télévisé. On dirait qu’il a donc droit à la plus grosse part du butin de Talpa, suivi d’Erica et ensuite seulement de Maxime.

Il semble y avoir un conflit dans la famille au sujet de la clé de distribution exacte. Maxime révèle dans son livre qu’elle se démarque toujours d’un point de vue commercial. « En fait, je suis le plus coriace, parce que si je ne réussis pas, je ne rends pas visite à mes parents pendant quelques jours. C’est de la tactique, car alors tout ira bien.

La tactique de Maxime

Comment est-ce exactement? Maxime explique OBNL Radio 1: « Oui, c’est pas mal ? Oui, mais oui, tu sais… Je suis très dur avec les affaires. Alors je pense : oui, je le vaux bien. Je veux dire : bien sûr, je suis jeune, alors je gagne peut-être moins que mes parents. Au final, ils sont aussi les protagonistes.

Elle poursuit : « C’est à cause d’eux qu’on s’est retrouvés à la télé, donc ils ont la plus grosse part et ça me va tout à fait, mais j’ai aussi juste des enfants. J’ai juste une vie d’adulte, donc j’ai quelque chose comme : je pense que je le vaux bien. Oui, c’est ce que je recherche vraiment.

Mauvaises conversations

Martien n’a pas toujours envie de continuer le travail télévisé. Maxime pense que c’est égoïste, car elle vient d’acheter une villa qui est en fait trop chère pour elle et elle a donc désespérément besoin de l’argent de la télévision. «Oui, ce sont de très mauvaises conversations, je dois dire. Cela reste gênant. Que tu dois ensuite t’asseoir avec lui et aussi avec ma sœur.

Elle poursuit : « C’est encore plus difficile, car il a aussi le magasin, donc il y a déjà une part beaucoup plus petite de toute façon. Mais ensuite il pense aussi : oui, j’abandonne aussi beaucoup et les gens me reconnaissent aussi. Ce sont donc de très mauvaises conversations. Je remarque surtout que mon père trouve cela le plus difficile. Il a juste peur qu’il y ait une bagarre.

Menton vers le bas

Maxime serait-il déçu si Martien jetait l’éponge ? « Oui, mais d’un autre côté : je comprends aussi qu’à un moment donné il obtiendra quelque chose comme : oui, je pense que c’est bien comme ça. »

Serait-elle d’accord ? «Ehmmm… Oui, je pense que oui. S’il dit vraiment vraiment vraiment : « Je n’en ai vraiment plus envie », oui, bien sûr… Je ne laisserai pas cet homme se montrer alors qu’il pense : je veux marcher dans le jardin et profiter d’une belle retraite. Non, je ne vais pas faire ça. Non non. Non, je ne peux pas lui faire ça, pauvre homme. »

Fragment

Un extrait de l’interview de Maxime :



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