Marie Verhulst revit un « traumatisme de jeunesse » en Autriche : « Le pire qui soit »

La chanson parle d’une certaine Marie. « Marie, Mara, Maruschkaka », chante Gert à haute voix. « Enfant, je chantais toujours et Marie devenait vraiment furieuse. J’ai bien sûr adoré ça », se souvient Viktor. « Si tu chantais ça, je pensais vraiment que c’était le pire », répond Marie. « Si mauvais. Vous ne voulez pas que votre nom soit associé à kaka. »

Quand ils écoutent l’original de la chanson, il s’avère qu’ils chantent mal les paroles depuis des années. « Il ne s’agit pas du tout de kaka », rit Ellen. « Ce traumatisme infantile n’aurait jamais dû se produire. »



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