Marcel van Roosmalen est vraiment complètement bouleversé. En fait, nous ne l’avons jamais vu aussi chaud. La raison? Son épouse Eva Hoeke reçoit « un coup de pied anticollégial ».

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Eva Hoeke, l’épouse de Marcel van Roosmalen, a été licenciée ce mois-ci de son poste de chroniqueuse pour le magazine Volkskrant. Ils veulent quelque chose de nouveau pour le magazine. Au début, Eva est restée silencieuse jusqu’à ce qu’elle entende le rédacteur en chef du journal dire à la radio qu’« on ne veut pas entendre tout le temps les mêmes voix du même monde ».

1,6 millions d’euros

Eh bien, cette Eva est immédiatement devenue complètement folle à la maison. Il s’agit d’une grande clique élitiste au Volkskrant, pense aujourd’hui la chroniqueuse qui a été licenciée. Et elle y a consacré toute une lettre ouverte : « Leurs voix sont différentes de celles de quelqu’un qui a grandi dans une maison mitoyenne d’un village de Zaan (…) et a travaillé pour le journalisme dans les soins à domicile. »

Pour être clair : Eva fait référence à elle-même. En d’autres termes, elle pense qu’elle est restée tout à fait normale et donc une voix différente de celle du reste des journalistes et chroniqueurs du Volkskrant. Que Marcel et elle sont maintenant très riches et 1,6 millions d’euros payé pour leur nouvelle maison à Amsterdam ne compte pas.

Combat laid

Quoi qu’il en soit : cette lettre ouverte d’Eva provoque une vilaine bagarre verbale. Alors que le Volkskrant a refusé la lettre ouverte d’Eva, le chroniqueur Hassan Bahara a désormais toutes les chances de lui répondre dans le journal. « Ce monde aspire à des émissaires autoproclamés de la classe ouvrière blanche », ironise-t-il dans le titre.

Hassan écrit entre autres : « Même les écrivains qui possèdent une maison dans les quartiers les plus chers d’Amsterdam et qui réussissent leur vie comptent aujourd’hui sur un début modeste dans la vie pour sauvegarder leur domination dans le paysage médiatique. »

Maison mitoyenne

Puis il paraphrase son ancienne collègue Eva : « Je travaillais dans les soins à domicile il y a très, très longtemps ! Vécu dans une maison mitoyenne, mange des haricots verts ! Il n’y a pas de meilleur représentant du sentiment des « gens ordinaires » que moi !

Oups, oups, oups. Ce sont exactement les exemples qu’Eva évoque dans sa lettre ouverte. Un dur ricanement de Hassan, et c’est ce que sa collègue du Volkskrant, Margriet Oostveen, retient. Elle partage la chronique et ajoute : « Pourquoi il faut toujours se méfier des représentants du peuple. Il ne s’agit donc pas de personne, mais du piège du populisme.»

Neville furieux

Cette attitude mesquine des anciens collègues d’Eva rend furieux son mari Marcel van Roosmalen. Il ne comprend surtout pas la comparaison entre sa femme et les républicains américains. « Si vous critiquez De Volkskrant, alors vous appartenez à Trump », écrit-il X.

Il poursuit : « Un coup de pied peu collégial après Hassan Bahara, chaleureusement recommandé par sa collègue du Volkskrant, Margriet Oostveen. Mais cela n’a rien de personnel. (…) Les choses vont vite maintenant. La semaine dernière, c’était trop pareil, c’est maintenant un danger pour le lecteur. Je vis avec Trump (!) dans une maison trop sympa”

Des coups stupides

Margriet voit les choses différemment. Elle dit : « Ce n’est pas ce qui est dit. Il s’agit d’un cadre populiste dans lequel les gens ne cessent de tomber. Nous pensons que c’est important. Quoi qu’il en soit, bonne chance pour tout.

Marcel alors : « Tu te dis ça, nous tous verrons tes bêtises. »

Gijs, Aaf et Teun

Un certain Han Schaeffer donne alors son avis à Marcel. « Mon Dieu Marcel : allez réfléchir avec Gijs, Aaf, Teun (et qui d’autre fait partie de cette clique d’ego plutôt inintéressante et au talent limité) sur la façon dont vous pouvez présenter votre famille comme l’ultime « ordinaire ». Au revoir. »

Marcel ensuite : « Je ne réponds pas aux inconnus. »

X

X en colère de Marcel :





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