Marcel van Roosmalen après la critique d’Angela show : ‘Pourquoi lâche ?’


Marcel van Roosmalen ne se considère pas comme un lâche après sa confrontation télévisée terne avec Angela de Jong. « C’est mon caractère, que je pense: je le prends juste gentiment. »

© SBS 6

Marcel van Roosmalen écrit des chroniques vraiment désagréables sur Angela de Jong depuis des années et des années, mais elle s’est assise à côté de lui la semaine dernière dans le talk-show Marcel & Gijs. Les attentes étaient très élevées, mais quand Angela le regarde droit dans les yeux, Marcel s’avère soudain ne plus être aussi méchant.

Sang sur la casserole

Les critiques pensent que Marcel est lâche, mais comment le voit-il lui-même ? Quel regard porte-t-il sur leur rencontre ? « Oui, assez fascinant. Rétrospectivement, vous pensez toujours : comment aurais-je dû gérer cela ? Le spectateur veut toujours du sang sur la casserole », revient-il ce week-end dans le podcast Un autre jour supplémentaire.

Co-animateur Gijs Groenteman : « Oui, le spectateur veut un combat. Le spectateur veut un combat.

Marcel : « Et il a envie de crier. Il veut juste : peu importe ce que vous dites, tant que vous êtes déraisonnable. Mais oui, eh bien, c’est mon caractère, je pense: eh bien, je le prends simplement avec gentillesse.

Cochon à l’huile

Marcel voulait être gentil. « Et puis les gens pensent que c’est beaucoup trop tôt… Alors tu es un lâche. Parce que : ‘Tu as une grande gueule sur le papier et maintenant tu t’effondres si tu te trompes !’ Eh bien, vous essayez juste de présenter vos arguments calmement. Mais tout s’en va. C’est un cochon dans l’huile. Tout glisse d’elle.

Gijs: « Et elle te regarde avec un tel regard: qu’est-ce que tu as d’autre? »

Marcel : « Oui, et puis tu n’as plus rien. Alors tu penses : je n’ai vraiment plus envie de te convaincre.

Éperdu

Gijs est devenu nerveux à propos d’Angela. « Cela m’a tellement désemparé que j’ai commencé à faire toutes sortes de fautes de langage. J’ai fait des tas de fautes de langage, je ne sais pas ce que je faisais. Quoi qu’il en soit, je pense que nous avons mené un combat courageux contre Angela de Jong.

Marcel : « Je ne suis pas du tout mécontent. »

Gijs : « Je ne suis pas du tout mécontent. »

‘elle cancane’

Ensuite, Gijs a longuement parlé avec Angela du bobo NPO Frans Klein qui est passé à Talpa. « Elle dit : ‘Oh oh oh, comme il l’a joué intelligemment ?’ Et: ‘Oh oh oh, est-ce que ça ira à Talpa?’ Et: ‘Oh oh oh, quelle période difficile il s’est faite.’ Elle est, bien sûr, au courant de tous les ragots. Elle ne sait rien, mais elle comprend tout.

Marcel : « Elle traverse tout. »

Gijs : « C’est une femme, vous jetez un quart et elle commence à parler. C’est un bavardage incroyablement confortable. Quelqu’un à qui tu peux très bien parler. De plus, il s’agit bien sûr d’un bloc de granit. Vous ne le traversez pas et vous ne pouvez pas le déplacer. Mais nous avons passé beaucoup de minutes ici avec elle et juste à nous amuser, n’est-ce pas ? »

« Elle sentait bon »

Marcel accepte. « Sans aucun doute. Elle sentait bon, elle avait une très belle tenue. Elle dit : « Je porte du violet ce soir. » Elle a sept forfaits différents. Son grand héros à l’Algemeen Dagblad est Hans Nijhuis. Elle a vraiment fait d’elle la ménagère à toute épreuve qu’elle était déjà. Il l’a reconnue et reconnue dans la ménagère.

Gijs : « La ménagère qui écrit. »

Marcel : « Oui, la ménagère qui écrit. »



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