Maltraité, humilié et déplacé. Et pourtant une joie de vivre dans les yeux. La travailleuse humanitaire et photographe Marianne van Elst-Sijtsma (33 ans) et l’orthopédagogue Annerieke van Vianen (27 ans) ont travaillé pendant deux ans à Lesbos et ont rassemblé soixante histoires de réfugiés dans le livre photo Tot op de overver. « Je pensais : la plupart des gens sont bons. Je n’en suis plus si sûr.
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Maltraitées, humiliées et déplacées : Marianne et Annerieke décrivent les cicatrices et la joie de vivre des réfugiés à Lesbos
