Mais le film de Damien Chazelle mérite d’être vu pour l’incroyable performance de Margot Robbie


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J’aime Chazelle sans l’Oscar de La La Terre il n’aurait pas pu mettre le colossal sur ses pieds Babylone (dans les couloirs). Le réalisateur canadien a cette histoire dans son tiroir depuis de nombreuses années qu’il nous emmène dans Hollywood des années 1920dans le cinéma muet et lors de l’avènement du son. Le voyage est dans la magie du septième art, un peu comme le vôtre comédie musicale chanceusemis en un Los Angeles rêveur.

Dans Babylone Chazelle regarde avec admiration un art qui se faisait, mais en même temps l’observe visage sombre de la même médaille, celle laissée de côté La La Terre. Le réalisateur nous montre un groupe d’acteurs, célèbres ou non, qui sont dépassés par le composite machine de cinéma composée d’acteurs, d’équipes, de techniciens, de décorsvoyeurisme, chaos, illusion, gloire, décadence e des soirées qui ressemblent plus à des orgies,.

Babylone: la parcelle

Le film de Damien Chazelle nous emmène dans l’opulence de Hollywood des années 1920lors de la transition cruciale de couper le son et dans le monde des acteurs qui atteignent le sommet et tombent comme l’enfer. Il y a Nellie LaRoy (Margot Robbie), une actrice en herbe qui du jour au lendemain, après une fête sans limites auxquelles participent les stars du moment, il se retrouve avec le boulot en main. Il en devient bientôt un star des acclaméschasser et gâter.

Pendant cette folle soirée Nellie rencontre Manny Torres (Diego Calva), un acteur hispano-américain en herbe, qui se contente d’être assistant sur le tournage de Jack Conrad (Brad Pitt), une star super riche et bien payée connue pour son vie privée indisciplinée faite de fêtes, d’alcool, de divorces et de sales affaires. L’arrivée du son va anéantir sa carrière, et sa vie. Au cours des trois heures de Babylone leurs chemins s’entremêleront jusqu’à la reddition finale.

Un film crié et chaotique

Damien Chazelle ouvre le film avec une fête extrêmeune scène du blockbuster alla DeMille ou, plus près de notre temps, alla Baz Luhrmannoù le style baroque, les couleurs vives, le blues et le jazz accompagnent des masses de gens heureux que ils chantent, dansent, baisent, urinent sur le corps de l’autre et se droguent. Chazelle nous dit ouvertement que derrière le Hollywood classique il y avait tout ça : le vice, pourriture, péché. « C’est de la graine du péché que naît l’usine à rêves », explique le réalisateur. Et son Babylone il veut le crier à haute voix.

Margot Robbie. (Paramount Pictures)

Dommage que le volume de la tonalité soit trop élevé et pompeux. Nellie LaRoy suit ces traces et finit par devenir une proie à un vortex chaotique sans fin qui submerge tous ceux qu’il rencontre, même le spectateur. Cette critique à laquelle Chazelle il se soucie tellement et qu’il ne pouvait pas attendre pour dire est brisé contre ce même monde si gâté, mais aussi éblouissant et brillant. Alors nous sommes en difficulté.

Brad Pitt et Diego Calva. (Paramount Pictures)

Et quand le film de la fin se débarrasse de sa peau et nous entraîne dans le tunnel d’horreur il est presque patiné, faux et authentique. Ainsi que le caractère de Tobey Maguireune sorte de Charon qui fait plus que diriger en enfer il semble nous montrer un spectacle de cirque.

La force écrasante de Margot Robbie

La force et le courage de Babylone ils se concentrent sur l’actrice Margot Robbieune explosion de énergie pureprête à tout mettre en jeu pour montrer ses vices Hollywood pécheur.

L’actrice de Barbie cela fera ressortir les yeux du spectateur pour son la beauté, pour l’habileté et pour cela capacité coexister une veine presque animale à la perfection formelle du jeu d’acteur. «Margot Robbie est sauvage – Chazelle la décrit – c’est une actrice rare ». Elle est la force écrasante de Babylone. Aussi Brad Pitt c’est toute la vie dans la peau de Jack qui au cours du film pousse vers l’abîme. Incroyable en parlant italien, mais il nous avait déjà surpris en Basterds sans gloire par Tarantino.

iO Femme © REPRODUCTION RÉSERVÉE



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