Maire à propos de l’homme confus Grootebroek : "Très imprudent s’il revient bientôt"

Le maire dit dans un communiqué qu’il est très désolé de ce qui s’est passé dans la cour de l’école. « Cela a un impact énorme sur les enfants, les parents et les enseignants. » Wortelboer a beaucoup parlé avec les enseignants, dit-il. « Ils sont extrêmement choqués et placent la garde de l’enfant au premier plan. Soyons clairs : l’école doit être un lieu sûr et de confiance pour tous les enfants. »

Le maire assure que les autorités de garde sont occupées à gérer l’incident. « La personne a été arrêtée et la police et la justice évaluent les prochaines étapes. Il y a maintenant eu deux incidents graves, je suppose que cela sera pris en compte. » Les autorités sanitaires compétentes se pencheront également sur ce qu’il convient désormais de faire avec l’homme de 24 ans.

Pas de retour rapide

Wortelboer pense qu’il est « très imprudent » si la personne retourne chez elle à Grootebroek à court terme. « Ce n’est pas bon pour la paix dans le quartier, à l’école et pour lui-même. Mais un maire ne peut pas simplement expulser quelqu’un de sa maison. »

« Nous ne pouvons pas non plus nous contenter d’imposer des soins forcés », explique-t-il. « Dès que je recevrai le signal du secteur de la santé que l’admission obligatoire est nécessaire par arrêté du maire, je prendrai cette décision. »

Réponse de l’association du logement

L’homme vit depuis plusieurs années dans une maison de location appartenant à l’association de logement Woon Schakel, en face de l’école. « Nous ne fermons pas les yeux sur la situation », déclare le réalisateur Albert Gieling. Il s’est déjà entretenu brièvement avec le maire aujourd’hui. Gieling continuera de consulter la municipalité et d’autres autorités pour voir quelles sont les possibilités. Mais il dit: « L’incident s’est produit dans la zone publique, nous, en tant que société de logement, ne pouvons pas agir là-dessus. Il existe des restrictions légales. »

Selon Gieling, les résidents locaux ne se sont jamais plaints de l’homme jusqu’au premier incident. « Avant, nous n’avions aucune raison, en tant qu’association de logement, de prendre des mesures. »



ttn-fr-55