Is de partij van Omtzigt, Nieuw Sociaal Contract (NSC), een linkse of rechtse partij?
« Zoals bij veel partijen is ook NSC niet in te delen in typisch links of typisch rechts. Om te beginnen omdat er simpelweg nog geen partijprogramma is. »
« Maar er zijn wel al wat kenmerken waardoor de partij langzaam wat kleur krijgt. Zo zou je kunnen zeggen dat NSC op economisch vlak links is. Welvaart moet eerlijker worden verdeeld, vindt Omtzigt. Vooral bij klimaatmaatregelen ziet hij een oneerlijke verdeling: mensen die zich (dure) klimaatinvesteringen kunnen veroorloven, zoals zonnepanelen of een elektrische auto, krijgen daarvoor subsidie. »
« Omtzigt was ook de initiatiefnemer van een uitgebreid onderzoek naar wat je minimaal nodig hebt voor bestaanszekerheid. Uit de eerste conclusies blijkt dat er veel meer geld moet naar de mensen met de laagste inkomens. Omtzigt staat pal achter die bevindingen. »
« Aan de andere kant is NSC conservatief als het om migratie gaat. Omtzigt ziet het aantal immigranten als een probleem, omdat het volgens hem een te grote druk is op de voorzieningen zoals het aantal woningen. Hij richt zich met name op arbeids- en studiemigratie, want dat zijn de grootste groepen. Daarna komt asielmigratie. »
« De partij benadrukt dat het woningtekort niet de fout van migranten is, maar een gevolg is van ‘ondoordacht Nederlands beleid.' »
Quel est le profil d’Omtzigt sur l’échiquier politique ? Est-il proche des idéaux du CDA ou le NSC est-il plus proche d’un autre parti ?
« CNRC a mené des recherches sur le comportement électoral d’Omtzigt. Cela montre qu’il a voté le plus avec le SGP : dans 81 pour cent des cas, il a voté comme ce parti. Le BoerBurgerBeweging est légèrement derrière (80 pour cent). »
« Une telle comparaison n’est pas très précise, car les partis gouvernementaux VVD, D66, CDA et CU votent dans un contexte de coalition, tandis que le CDA en particulier présente de nombreuses similitudes avec le NSC en termes de contenu. Omtzigt lui-même a déclaré à propos de cette recherche qu’au cours des dernières années il était tout simplement incapable d’étudier de très près les centaines de motions votées chaque semaine.
Le politologue Simon Otjes qualifie le parti d’Omtzigt de « social et conservateur ». Selon lui, l’électeur de gauche conservateur est au cœur de ces élections. « Omtzigt a la meilleure position en termes de contenu », a donc écrit Otjes sur X, l’ancien Twitter.
Si Omtzigt et son parti obtiennent plus de voix qu’il n’y a de personnes sur la liste électorale, qu’adviendra-t-il des voix restantes et des sièges éventuels ?
« Supposons que le nouveau parti d’Omtzigt ait quinze candidats députés sur la liste et que le parti obtienne vingt sièges au Parlement lors des élections. Ensuite, les cinq autres sièges sont répartis entre les autres partis. »
« Il peut donc arriver que vous choisissiez Omtzigt, mais que votre vote finisse par aller au CDA, par exemple. C’est bien sûr difficile à expliquer à l’électeur. »
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De nombreux partis excluent par avance les autres partis s’ils sont élus par le peuple. Comment Omtzigt voit-il cela ?
Omtzigt a déclaré dans une interview avec Tubantie qu’il considère l’État de droit comme une condition fondamentale. Il ne voit donc aucune coopération dans une coalition avec le PVV et le FVD, a-t-il déclaré.
Où Omtzigt va-t-elle trouver si rapidement des personnes à inscrire sur la liste ? Choisira-t-il des membres de l’ADC ou s’agira-t-il d’« inconnus » ? Comment va-t-il contrôler ces personnes ?
« C’est souvent la question clé des nouveaux partis. D’où viennent les bonnes personnes ? Selon l’Omtzigt, le NSC a déjà commencé à recruter des députés potentiels et de nouveaux candidats s’inscrivent chaque jour. Le parti a également lancé un appel en ce sens sur son site. »
« Selon l’Omtzigt, le problème n’est pas de trouver de bons candidats, mais de savoir s’ils peuvent former une bonne équipe. « C’est le défi que nous continuerons à relever dans les semaines à venir », a déclaré hier l’Omtzigt. L’heure de l’actualité« .
« Pour éviter que le parti ne grandisse trop vite et ne s’enlise ainsi dans le chaos et les querelles, Omtzigt n’envisage même pas d’être élu partout. Ce serait très remarquable, mais le NSC ne serait pas le premier parti à croître trop vite et donc « Les joints se fissurent. Il suffit de regarder le LPF et plus récemment le FVD. »
Si le NSC devient le plus grand parti mais ne souhaite pas participer à une coalition/un gouvernement, que se passe-t-il ? Est-ce possible?
« C’est certainement possible. Le plus grand parti n’est pas obligé de rejoindre une coalition. Vous vous retrouvez alors dans l’opposition. Omtzigt a déjà déclaré qu’il était prêt à co-gouverner s’il occupe cette position. Il a également expliqué un bout du voile à quoi cela ressemblera. Il veut donc nommer des experts tels que des professeurs comme ministre.
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