Kenya Grace a touché une corde sensible avec sa chanson Étrangers. La chanson, qui décrit comment tout le monde est traité de manière interchangeable sur les applications de rencontres, est un succès mondial. La chanteuse britannique elle-même n’a jamais vu le succès venir.
« Dat is voor mij bijna niet te bevatten », verzucht Grace als ze hoort dat Strangers al acht weken bij de bovenste vijf van de Nederlandse top 40 bivakkeert. « Het dringt nog steeds niet helemaal door wat er allemaal gebeurt. Dat het nummer zoveel mensen heeft geraakt, is echt bijzonder. »
De in Zuid-Afrika geboren Britse artiest liep al een tijdje rond met het idee een nummer te maken over relaties in tijden van datingapps. « Hoe je heel close met iemand kunt zijn en het volgende moment helemaal geen contact meer hebt. Dat is zo normaal geworden, maar dat is het eigenlijk helemaal niet. »
De 25-jarige Grace putte uit eigen ervaring en die van de mensen om haar heen. « Je ziet gebeuren hoe makkelijk mensen elkaar ghosten (het van het ene op het andere moment niet meer reageren op berichten en uit iemands leven verdwijnen, red.). Dat is veel makkelijker als je iemand via een datingapp kent dan als je bijvoorbeeld met een vriend van vrienden gaat daten. Dan verdwijn je niet zomaar. Het is een product van de tijd waar we in leven. »
Kenya Grace – Étrangers
Grace a créé Strangers à partir de zéro dans sa chambre
Aucun producteur à succès n’a été impliqué dans le succès de Grace. La chanteuse a écrit et produit la chanson toute seule dans sa chambre. Lorsqu’elle a ensuite partagé un fragment sur les réseaux sociaux, les choses sont allées vite.
« Les gens ont commencé à créer leurs propres vidéos avec la chanson et les chiffres sur TikTok et Instagram Reels sont montés en flèche. Lorsque la chanson est arrivée sur Spotify, j’espérais atteindre un million de streams en deux semaines, mais je l’ai fait en moins d’une journée. «
Le compteur est désormais en avance Étrangers sur plus de 330 millions de streams. Successeur Seulement dans mon esprit en compte 11 millions après un peu moins de deux mois. Grace elle-même essaie de ne pas trop prêter attention aux chiffres. « Ce n’est pas bon pour moi. J’essaie d’être aussi libre que possible sur le plan créatif et je veux me concentrer là-dessus. »
« Mon style de musique a été façonné en sortant »
Grace a été élevée dans la créativité à la maison : sa mère est plasticienne. « Elle m’a donné beaucoup d’espace pour découvrir et développer cet côté de moi-même. » C’est ainsi que la chanteuse a débuté le théâtre musical à l’école. « J’ai adoré ça, mais c’est tellement différent de ce que je fais maintenant », dit-elle en riant.
Elle fait ainsi référence au fait que sa musique est désormais fortement influencée par des mouvements électroniques tels que la drum’n’bass. Comment est-elle arrivée là ? « Sortir. C’était tellement excitant de découvrir des styles de musique complètement nouveaux. J’allais à des raves illégales quand j’étais bien trop jeune pour ça », dit-elle en souriant. « À cet âge, on est vraiment une éponge, on absorbe tout. Ces expériences m’ont façonné musicalement. »
J’ai dû apprendre à produire pour exprimer comment je voulais que ma musique sonne.
Pendant ses études à la British Academy of Contemporary Music, Grace a fait des heures supplémentaires pour maîtriser la production de ce son. « À l’époque, je chantais déjà avec d’autres producteurs, mais je n’arrivais pas vraiment à exprimer comment je voulais que quelque chose sonne, alors j’ai dû apprendre comment ça fonctionnait », dit-elle.
« J’ai commencé à m’amuser toute seule après mes cours. Quand je travaillais avec d’autres, je posais des questions sur tout ce qui se passait. J’ai beaucoup travaillé pour m’améliorer ces deux dernières années. »
Cela ne veut pas dire que la chanteuse veut toujours tout faire elle-même. « J’adorerais faire quelque chose avec Flume (producteur australien à succès, ndlr). Et si je peux voir grand : cela n’arrivera probablement pas, mais une chanson avec Lana Del Rey serait un rêve. »
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