Maintenant dans le téléscripteur – Super-G Hommes à Garmisch-Partenkirchen


  • 11h46

    Marco Odermatt (SUI)

    Le meilleur temps de Kriechmayr est-il en train de vaciller ? Odermatt en serait tout à fait capable. Le Suisse met beaucoup de pression sur les skis et dévale les pistes. Sa ligne a l’air vraiment bonne et il reste à la limite sans pitié. En attendant, nous sommes déjà à la limite. Folie! Il prend bien plus d’une demi-seconde d’avance sur la concurrence. Chapeau bas ! Ce sera le moment à battre aujourd’hui. Il n’y a aucun moyen de contourner ce problème !

  • 11h43

    Guglielmo Bosca (ITA)

    Hier, l’Italien a étonnamment atterri à la deuxième place. Il a également bien démarré le cinquième Super G de l’hiver et a même repris quelques centièmes au leader actuel dans les premiers mètres. Dans le deuxième secteur, Bosca ne trouve pas son rythme et doit mordre. Dans l’ensemble, le trajet semble trop instable. De nombreuses corrections permettent d’additionner les centièmes. Seulement la sixième place pour lui.

  • 11h42

    Vincent Kriechmayr (AUT)

    Le vainqueur 2021 chevauche une « lame extrêmement subtile », c’est ce qui le rend si rapide si souvent. Ici, il survole pratiquement la pente et montre à quel point elle peut paraître légère. Les virages et la vitesse sont corrects. Sa ligne est assez serrée et cela garantit également que les petites erreurs dans le deuxième secteur n’ont pas un gros impact sur le temps. Kriechmayr prend les devants et fait la fête en bas !

  • 11h39

    Stefan Babinsky (AUT)

    Les athlètes prennent le départ à Garmisch toutes les deux minutes. Stefan Babinsky est désormais le premier Autrichien à prendre le départ. Il ne réussit pas très bien dans la première partie, mais il peut également garder l’écart assez petit dans le deuxième secteur. Les sauts ont l’air bien et la ligne s’améliore au fur et à mesure de sa progression. Deuxième place au départ.

  • 11h37

    Adrian Smiseth Sejersted (NOR)

    Il y a 33 portes à franchir ici. La partie inférieure est particulièrement importante, car il ne faut pas rouler trop droit. Le Norvégien a un bon rythme de base et utilise fort les carres. Son style peu conventionnel s’adapte bien au tracé et l’avance est bonne après trois secteurs. Il va jusqu’au bout. Fort!

  • 11h35

    Jeffrey Read (CAN)

    Bon départ pour le Canadien, qui est immédiatement plus rapide que l’Italien devant lui. Read prend beaucoup de vitesse, mais doit se battre après le deuxième temps intermédiaire. Il parvient à se stabiliser et à garder les distances courtes – la ligne s’adapte. Dans le secteur inférieur, il perd un temps précieux et arrive « seulement » en deuxième position.

  • 11h33

    Mattia Cassé (ITA)

    La nuit était claire et l’humidité sortait donc des pistes. L’Italien constate également que les conditions ne sont pas tout à fait optimales. Dans la partie supérieure, c’est un peu plus lent, mais vous ne pouvez pas le pousser vers l’arrière. Il carre bien le ski et se bat. Cela rapporte à un bon rythme. Il s’assoit devant l’Allemand avec plus d’une seconde et demie. Folie!

  • 11h31

    Andreas Sander (Allemagne)

    Et avec cela dans la compétition. Le joueur de 34 ans originaire de Schwelm est le premier. Le plus grand succès d’Andreas Sanders jusqu’à présent est de remporter la médaille d’argent en descente lors de la Coupe du monde 2021. Le parcours d’aujourd’hui est bien sûr basé sur la pente d’hier. Entre-temps, il y a quelques sections plus petites qui ressemblent davantage à un slalom et qui sont techniquement exigeantes. Sanders démarre bien sur la pente de Kandahar. Normalement, le numéro un est toujours expérimental, mais bien sûr, il connaît le parcours. Il parcourt des distances relativement courtes, mais semble agité ici et là. L’équilibre manque dans la partie médiane – même avec le double juste devant l’allée FIS.

  • 11h22

    Huit athlètes de l’ÖSV

    Bien entendu, les espoirs de succès de l’Autriche reposent avant tout sur Vincent Kriechmayr et Raphael Haaser. De plus, six autres pilotes concourent pour l’ÖSV et veulent donner le meilleur d’eux-mêmes à la fin à Garmisch.

  • 11h17

    Onze Suisses là-bas

    Outre le leader de la Coupe du monde Marco Odermatt et le troisième d’hier Loïc Meillard, la Suisse a encore neuf fers au feu. Il sera intéressant de voir comment les pilotes font face aux conditions.

  • 11h12

    Les stars veulent une compensation

    Hier soir, les températures étaient inférieures à -3°C, la pente du deuxième Super G devrait donc être beaucoup plus stable et surtout beaucoup plus dure. Les conditions extérieures ne doivent pas empêcher les favoris de remplir leur mission de réparation. Tous les regards sont bien sûr tournés vers Marco Odermatt (SUI), Vincent Kriechmayr (AUT), Dominik Paris (ITA) et Cyprien Sarrazin (FRA). La compétition internationale est complétée par Adrian Smiseth Sejersted (NOR) et Ryan Cochran-Siegle (USA). Tous deux ont montré hier qu’ils pouvaient suivre le rythme des leaders.

  • 11h03

    Désillusion à la DSV

    Lors de la Coupe du Monde à domicile, Simon Jocher (SC Garmisch) était le 18e meilleur Allemand (+1,10s). Romed Baumann (22e/+1,17) et Andreas Sander (28e/+1,56s) étaient loin derrière. Sander ouvrira le Super G à Garmisch-Partenkirchen à 11h30.

  • 10h55

    Favoris avec des problèmes

    En raison des températures extrêmement élevées, le parcours de Garmisch a été traité avec une quantité relativement importante de sel, ce qui a causé de sérieux problèmes à de nombreux pilotes de haut niveau. Le Suisse Marco Odermatt a raté de peu le podium, mais pour la première fois cet hiver, il ne s’est pas classé au moins parmi les trois premiers athlètes. Cyprien Sarrazin, double vainqueur sur la Streif de Kitzbühel, était dans une bataille perdue d’avance sur le Kandahar et ne terminait que dixième (+0,64s).

  • 10h45

    Surprises lors du premier Super G

    Hier, le Super G a eu un vainqueur assez surprenant : le Français Nils Allegre a célébré à la fin sa première victoire en Coupe du Monde (1:11,92 minutes). L’Italien Guglielmo Bosca (+0,18s) arrive deuxième devant le Suisse Loïc Meillard (+0,25s). « En fait, je me sentais mal ce matin, expliquait le vainqueur après la course. Mais les « conditions avec le sel » étaient « étonnamment bonnes ».

  • Accueillir!

    Bonjour et bienvenue au Super G masculin de Garmisch-Partenkirchen ! Le téléscripteur en direct commence juste avant le début de la course.



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