Luuk Ikink, 40 ans, présentateur de RTL Boulevard, travaillera moins pour passer plus de temps avec sa famille. Il a pris cette décision lors des dernières vacances d’été.
Luuk Ikink est un travailleur acharné selon les standards de la télévision : il a une semaine de travail de cinq jours avec une émission d’une heure par jour. A titre de comparaison : la place à côté de lui sur RTL Boulevard est occupée par quatre présentateurs différents. Ils travaillent donc aussi quatre fois moins que Luuk, mais eux-mêmes considèrent souvent cela comme un à temps plein piste.
Luke diminue
Après sept ans, Luuk décide désormais de ralentir un peu. « Écoute Luuk, j’ai entendu dire que tu ne ferais le podcast qu’une fois toutes les deux semaines », lui dit son collègue Eric de Munck dans le Podcast BLVD.
Luke confirme la nouvelle. « Oui c’est vrai. Nous avons pensé que ce serait une bonne idée, avec ma grande famille, que j’aie un peu plus de temps tôt le matin pour y prêter attention.
Wietze le plaignant
Le collègue Rob Goossens est choqué. « Oh, est-ce la raison ? Puis-je maintenant vous appeler Wietze de Jager ?
Wietze a été surnommé « Wietze le plaignant » par RTL Boulevard, car il voulait moins travailler à Radio 538 à cause de sa famille. Luuk : « Hahaha. C’est juste le podcast. Et je continuerai à le faire, mais une fois toutes les deux semaines.
Eric : « Avez-vous dit aux auditeurs que Bridget prendrait le relais l’autre semaine ? »
Luuk : « Non, nous ne vous l’avons pas encore dit. C’est sympa, n’est-ce pas ? »
Plus de Bridget
Qui remplacera Luc ? Eric : « Voilà : Bridget va le faire avec Rob la semaine où tu n’es pas là. Et pour compléter la fête, surprise : je serai également des nôtres dans ces semaines-là pour simplement apporter un peu de glamour hollywoodien dans le podcast.
Rob : « J’aime vraiment ça. »
Luuk : « Vous allez donc réellement apporter le genre de touche américaine dans notre podcast. On laisse ça un peu dans certains épisodes et vous venez les livrer une fois toutes les deux semaines.
Eric : « Exactement, parce que bien sûr, souvent, on ne dépasse pas la frontière, vous savez. Avec les Pays-Bas, ça s’arrête un peu, puis c’est fini.»