L’AFSCA dispose désormais de trente jours pour répondre à la demande. “Nos experts seront sur place la semaine prochaine à Arlon pour étudier en détail les documents et mesures contenus dans le plan de redémarrage de Ferrero”, a indiqué la porte-parole Hélène Bonte. Dans le scénario le plus favorable, une licence conditionnelle et provisoire de production de trois mois peut alors être accordée. Il ne s’agit donc pas d’une autorisation de mise sur le marché, souligne l’AFSCA.
Les travaux de nettoyage à l’usine ont débuté cette semaine en vue d’un redémarrage. Les deux tiers du personnel permanent sont rappelés et travailleront avec environ 200 partenaires externes spécialisés. La direction a également confirmé lundi que les salaires seront certainement payés jusqu’à fin mai.