Lukaku tient le pacte avec Zhang: voici la relance de l’Inter à Chelsea

Procureur Ledure en conversation avec les Bleus : les négociations officielles commencent, les Nerazzurri prêts à offrir plus de 30 millions de primes en plus. Le facteur temps est déterminant

Philippe Conticello

L’optimisme grandit à mesure que ces heures plus chaudes passent. Mais prudence aussi, car le match est délicat et Chelsea est un club imprévisible, en constante ébullition depuis qu’il a changé de propriétaire l’été dernier. je suis toujours le Bleus donner les cartes car depuis le 1er juillet, ils sont les titulaires de la carte d’avant-centre tirée par la veste entre Milan et Londres. Mais le tout avec une certitude qui vient directement de Romelu Lukaku, l’homme au centre de cette dispute sur le marché des transferts : « Je veux juste l’Inter », dit, répète, exhibe l’intrépide Belge. Ses proches l’ont toujours su et partagent avec lui ces longues journées d’attente. Romelu l’a répété aux Nerazzurri et les mots étaient du miel pour le club de Zhang, qui essaie de trouver le moyen le plus « durable » de l’embarquer définitivement à bord. Le fait que le pacte d’acier entre lui et l’entreprise tient toujours contribue à nourrir l’espoir. Et, par extension, il l’a aussi dit au Bleusqui hier a officiellement eu le premier contact officiel avec leentourage de l’avant-centre : pas n’importe quel coup de fil, pas une inspection préalable, mais le feu vert officiel pour une vraie négociation prête à démarrer. Après une première offre jugée faible par Chelsea, l’Inter enverra une solide relance dans les prochains jours : les 30 millions pour l’achat définitif seront largement rompus avec l’ajout de bonus. Ce ne sera peut-être pas le pas décisif, mais ce sera certainement une accélération.

La situation

Le bouchon est soufflé car l’avocat Sébastien Ledure, avocat de confiance de Romelu, dirigé par Nation rock, l’agence de Jay Z qui veille aux intérêts du Belge et qui a une importance stratégique dans cette affaire, a écouté les raisons du Britannique. Dans le même temps, il a également présenté le point de vue du joueur, bien décidé à garder le cap sur une question qui relève de son projet de vie et pas seulement de son métier. Bref, il est de plus en plus clair que Lukaku ne voit que les Nerazzurri. C’est pourquoi demain il ne sera pas à la retraite de Cobham où en théorie ses anciens coéquipiers l’attendraient pour la première journée de travail de la saison 2023-24. « Je m’attends à ce que vous veniez dans mon bureau… », avait dit sournoisement Mauricio Pochettino, mais c’étaient des mots tactiques, incités par la société londonienne à débusquer la proie. Avec une négociation aussi flagrante, il est raisonnable pour le joueur d’éviter un nouveau passage à Londres, aussi parce que les chances que Rom reste à Londres sont depuis longtemps réduites à zéro. Bien sûr, le Belge ne peut pas attendre indéfiniment son Inter bien-aimé, mais pour l’instant il garde les tranchées, aussi parce qu’il sait que les temps ne peuvent pas durer trop longtemps.

Briser l’engourdissement

LE Bleus ils auraient certainement préféré entendre d’autres paroles. De leur point de vue, une ouverture sur la piste arabe n’aurait pas été malvenue étant donné que l’offre la plus élevée est venue d’Al-Hilal, environ 50 millions, et n’a jamais été retirée de la table. Pour le moment, Lukaku ne veut pas suivre la mode du moment et s’attend à jouer au plus haut niveau du football européen. Si les « non merci » aux émirs ne suffisaient pas, qui selon certaines sources le combleraient d’un salaire de 30 € par an, le Belge a également fait savoir qu’il réfléchissait actuellement à d’autres propositions en Europe autres que l’Inter. Aucune carte officielle de la Juve n’a jamais atteint sa table le moins du monde, et en tout cas elle ne serait pas du tout prise en considération, alors que l’approche de Milan envers lui était réelle, mais même dans ce cas, elle se heurtait à la volonté de fer du joueur. . Le Belge est soutenu par l’imminence de la relance des Nerazzurri qui va secouer sa torpeur et aussi une prise de conscience qui circule dans son milieu : la demande initiale de Chelsea, 45 pour ne pas faire de moins-value, pourrait tomber immédiatement à 40 sans drame. Dans tous les cas, un effort réciproque sera encore nécessaire pour se rapprocher, peut-être à mi-chemin, et les fameux « bonus » joueront un rôle important : en effet, l’Inter pense pouvoir utiliser la Rom comme arme pour de nouvelles victoires et pour cette raison ils serait prêt à lier les succès à des prix plutôt riches pour les Britanniques. Dans tous les cas, cependant, le facteur temps sera déterminant : il faut éviter de dépasser une semaine pour ne pas figer le Bleus, alors qu’ils entrent dans le clou de la préparation avec Pochettino. L’Inter, rapace en termes de timing pour le duo Thuram-Frattesi, ne veut pas être en reste pour son totem belge.





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