Lucille Werner blessée en direct à la télé par la dure blague d’Hugo de Jonge


Lucille Werner a été blessée en direct à la télévision hier soir par une plaisanterie assez dure de Hugo de Jonge, son collègue au CDA. Elle était visiblement touchée. « C’est très maladroitement dit. »

©RTL

Lucille Werner quitte la politique après quatre ans. Selon ses propres mots, elle aime prendre des risques dans tous ses emplois et ensuite laisser le soin aux autres. Apparemment, la surface à Hilversum était beaucoup plus rugueuse qu’à La Haye, car elle pratique Lingo depuis environ 43 ans. « Boule verte ! »

Dure blague

Hier soir, Lucille était assise à la table du talk-show d’Humberto Tan pour revenir sur sa courte carrière de députée. Le journaliste Jaïr Ferwerda lui a fait part de nombreuses réactions de la part de personnalités, dont celle de son propre collègue Hugo de Jonge. Mais sa réponse n’était pas vraiment du goût.

Lorsque Hugo lui fait quelques compliments, Jaïr le prévient du passage d’une voiture très proche. Puis le ministre plaisante, évoquant le handicap de Lucille : « Merci de m’avoir protégé des écrasements, sinon je me serais retrouvé ici avec un handicap. »

« Quel homme fou »

Cela crée une atmosphère difficile dans l’atelier d’Humberto. Roxane Knetemann, invitée à la table : « Quel fou c’est. Quel genre de commentaire idiot est-ce !

Humberto : « Oui, hein ? »

Roxane : « Je ne sais même pas ce qu’il a dit, désolée. Je me suis attardé un moment.

Humberto : « Je peux répéter : ‘Merci de m’avoir sauvé, de ne pas être handicapé moi aussi.’ »

Roxane : « Oui, donc ça coince. »

Lucille a frappé

Lucille est visiblement touchée. « Ce que je trouve compliqué dans tout cela, c’est que les personnes handicapées doivent être considérées comme un potentiel. En tant que personnes capables de faire quelque chose, qui peuvent être heureuses et moins pathétiques, vulnérables ou inquiétantes. Vous savez, c’est dommage que cela soit dit ainsi, même si je connais bien Hugo, bien sûr.

Humberto : « Il ne le pense pas ainsi, mais c’est très maladroit. »

Lucille : « Il ne le pense pas de cette façon, il ne le pense certainement pas de cette façon, mais c’est un peu – je dois être honnête – dit maladroitement. »

« Prononciation maladroite »

Humberto : « Ce qu’il dit dans cette blague est le noyau sur lequel vous vous êtes engagé depuis des années. Regarder ce que les gens peuvent faire plutôt que ce qu’ils ne peuvent pas faire. Mais si cela est déjà si difficile au sein de votre parti, qu’en est-il pour le reste des Pays-Bas ?

Lucille : « Je pense qu’il faudrait séparer ça. Je pense que c’est effectivement une déclaration maladroite, mais c’est une évidence. Je veux dire : nous sommes confrontés à un énorme désavantage et à l’exclusion des personnes handicapées dans ce pays et aussi à La Haye.»

VI cris

Le fragment d’Humberto a également été diffusé peu de temps après dans Today Inside, où les messieurs ont dû en rire. « Ce n’est pas si heureux ça ! Garçon, oh, garçon », rit Wilfred Genee.

Hélène Hendriks : « Il fait souvent des déclarations comme ça ! »

Johan Derksen : « Si vous l*ltez beaucoup, vous dites aussi beaucoup de mauvaises choses. Je sais tout à ce sujet.

Wilfred : « Incroyable tout ça. »

Fragment

L’extrait d’Humberto :



ttn-fr-48