Le fait que de moins en moins de jeunes parlent encore le Drenthe n’est plus une nouveauté. Nous titrions récemment que « de moins en moins de gens parlent le bas saxon à Drenthe ». Une étude de l’Université de Groningue a montré que 41 pour cent des habitants de Drenthe peuvent avoir une simple conversation à Drenthe. Parmi eux, il y a de moins en moins de jeunes.

C’est dommage, estime la journaliste Lidian Boelens (32 ans). Elle-même est née et a grandi à Annen. Jusqu’à l’âge de dix-huit ans, elle entendait suffisamment de Drenthe autour d’elle à la maison, car ses parents se parlaient en dialecte. Comprendre Drenthe ne pose aucun problème, mais parler Drenthe est une autre histoire. Peut-elle encore faire ressortir le Drenthe en elle-même ? Elle est en train de comprendre ça.

Il y a peu d’enfants qui sont élevés à Drenthe, mais cela ne s’applique pas à Quinne, dix ans, d’Eext. Elle a été élevée à Drenthe par ses parents. Que pense-t-elle de cela ? Et que pense-t-elle du fait que Lidian essaie d’enseigner Drents ? En guise de défi, Lidian peut cette fois lire une histoire de Drenthe dans la classe de Quinne. Quinne donne des conseils.



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