Le président sud-coréen Yoon Suk-yeol subit d’intenses pressions pour qu’il démissionne après avoir déclaré de manière inattendue la loi martiale mardi. Le Parlement a réussi à se réunir malgré la loi martiale et a voté contre la mesure. Bien que le président ait levé l’état d’urgence, l’opposition et la principale confédération syndicale ont exigé sa démission. Mais il y a aussi des critiques au sein du parti au pouvoir. Six partis d’opposition ont désormais entamé une procédure de destitution contre le président.
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